L’armée allemande participe à IRINI avec un effectif pouvant atteindre 300 militaires au maximum. Le Parlement allemand (Bundestag) a approuvé la demande du gouvernement fédéral de prolonger, jusqu’au 30 novembre 2026, la participation de la marine allemande à « IRINI », l’opération militaire de l’Union européenne (UE) en Méditerranée, chargée de faire appliquer un embargo sur les armes en Libye, imposé par l’ONU depuis 2011.
La contribution de l’armée allemande (Bundeswehr) à IRINI continuera d’inclure du personnel d’état-major au quartier général de l’opération à Rome (Italie), des vols réguliers pour la surveillance et la reconnaissance aériennes des zones maritimes, ainsi que la possibilité de participer avec un navire, selon le ministère fédéral allemand de la Défense.
Un effectif pouvant atteindre 300 militaires au maximum
D’après le ministère, l’armée allemande (Bundeswehr) participe à IRINI (« paix », en grec) depuis son lancement, avec un effectif pouvant atteindre 300 militaires au maximum.
La zone d’opération de la Bundeswehr comprend les zones maritimes situées en dehors des mers territoriales de la Libye et de la Tunisie, au sud de la Sicile et dans la région centrale et méridionale de la Méditerranée, dont l’espace aérien et les zones maritimes adjacentes sont utilisés pour le détournement et le transfert des navires, avait indiqué le gouvernement fédéral allemand.
IRINI a été lancée le 1er avril 2020, conformément aux recommandations de la Conférence de Berlin sur la Libye, tenue dans la capitale allemande le 19 janvier 2020.
Mobilisation de moyens aériens, satellites et maritimes
Elle a été conçue pour apporter une contribution concrète de l’UE au processus mis en place par la communauté internationale afin de soutenir le retour à la paix et à la stabilité en Libye, qui a sombré dans le chaos après le renversement, en 2011, du régime de Mouammar Kadhafi.
Via la mobilisation de moyens aériens, satellites et maritimes, IRINI procède, en haute mer au large des côtes libyennes, à l’inspection de navires soupçonnés de transporter des armes en violation de l’embargo onusien. Il s’agit également de surveiller les violations commises par voie aérienne et terrestre.
Surveillance des exportations illicites de produits pétroliers depuis la Libye
À titre de tâches secondaires, IRINI surveille par ailleurs les exportations illicites, depuis la Libye, de pétrole, de pétrole brut et de produits pétroliers raffinés, et recueille des informations sur celles-ci.
Elle contribue aussi au démantèlement du modèle économique des réseaux de trafic de migrants et de traite des êtres humains grâce à la collecte d’informations et à l’organisation de patrouilles aériennes. L’opération partage avec l’ONU les informations qu’elle recueille dans le cadre de son mandat.
La contribution de l’armée allemande (Bundeswehr) à IRINI continuera d’inclure du personnel d’état-major au quartier général de l’opération à Rome (Italie), des vols réguliers pour la surveillance et la reconnaissance aériennes des zones maritimes, ainsi que la possibilité de participer avec un navire, selon le ministère fédéral allemand de la Défense.
Un effectif pouvant atteindre 300 militaires au maximum
D’après le ministère, l’armée allemande (Bundeswehr) participe à IRINI (« paix », en grec) depuis son lancement, avec un effectif pouvant atteindre 300 militaires au maximum.
La zone d’opération de la Bundeswehr comprend les zones maritimes situées en dehors des mers territoriales de la Libye et de la Tunisie, au sud de la Sicile et dans la région centrale et méridionale de la Méditerranée, dont l’espace aérien et les zones maritimes adjacentes sont utilisés pour le détournement et le transfert des navires, avait indiqué le gouvernement fédéral allemand.
IRINI a été lancée le 1er avril 2020, conformément aux recommandations de la Conférence de Berlin sur la Libye, tenue dans la capitale allemande le 19 janvier 2020.
Mobilisation de moyens aériens, satellites et maritimes
Elle a été conçue pour apporter une contribution concrète de l’UE au processus mis en place par la communauté internationale afin de soutenir le retour à la paix et à la stabilité en Libye, qui a sombré dans le chaos après le renversement, en 2011, du régime de Mouammar Kadhafi.
Via la mobilisation de moyens aériens, satellites et maritimes, IRINI procède, en haute mer au large des côtes libyennes, à l’inspection de navires soupçonnés de transporter des armes en violation de l’embargo onusien. Il s’agit également de surveiller les violations commises par voie aérienne et terrestre.
Surveillance des exportations illicites de produits pétroliers depuis la Libye
À titre de tâches secondaires, IRINI surveille par ailleurs les exportations illicites, depuis la Libye, de pétrole, de pétrole brut et de produits pétroliers raffinés, et recueille des informations sur celles-ci.
Elle contribue aussi au démantèlement du modèle économique des réseaux de trafic de migrants et de traite des êtres humains grâce à la collecte d’informations et à l’organisation de patrouilles aériennes. L’opération partage avec l’ONU les informations qu’elle recueille dans le cadre de son mandat.