Ce dimanche un sommet extraordinaire de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'ouest ( CEDEAO) se tiendra à Abuja sur la situation politique au Niger. Dans un tweet, le général Abdourahmane Tchiani, Président Conseil National de la Sauvegarde de la Patrie(CNSP) a indiqué que les nouveaux dirigeants du Niger mettent en garde " la CEDEAO et ses alliés contre toute intervention militaire à Niamey".
"Nous mettons en garde la CEDEAO et ses alliés contre toute intervention militaire à Niamey, en conséquence nous serons obligés de nous défendre jusqu'à la dernière énergie. Nous sommes prêts", a t-il prévenu sur son compte tweeter. D'ailleurs le porte parole de la junte a fait une intervention à la télévision pour dénoncer cette réunion.
Le Conseil National de la Sauvegarde de la Patrie(CNSP) a ainsi affirmé que la réunion de la CEDEAO prévue ce dimanche a pour objet " la validation d'un plan d'agression contre le Niger à travers une intervention militaire imminente à Niamey avec "certains pays occidentaux".
Dans un communiqué publié, la Cedeao déclarait avoir pris connaissance « avec stupeur et consternation » de ce qui n’était alors qualifié que de « tentative » de putsch contre Mohamed Bazoum, avant de le « condamner de la manière la plus vigoureuse » et d’appeler « les auteurs de cet acte à libérer immédiatement et sans condition le président de la République démocratiquement élu. »
"Nous mettons en garde la CEDEAO et ses alliés contre toute intervention militaire à Niamey, en conséquence nous serons obligés de nous défendre jusqu'à la dernière énergie. Nous sommes prêts", a t-il prévenu sur son compte tweeter. D'ailleurs le porte parole de la junte a fait une intervention à la télévision pour dénoncer cette réunion.
Le Conseil National de la Sauvegarde de la Patrie(CNSP) a ainsi affirmé que la réunion de la CEDEAO prévue ce dimanche a pour objet " la validation d'un plan d'agression contre le Niger à travers une intervention militaire imminente à Niamey avec "certains pays occidentaux".
Dans un communiqué publié, la Cedeao déclarait avoir pris connaissance « avec stupeur et consternation » de ce qui n’était alors qualifié que de « tentative » de putsch contre Mohamed Bazoum, avant de le « condamner de la manière la plus vigoureuse » et d’appeler « les auteurs de cet acte à libérer immédiatement et sans condition le président de la République démocratiquement élu. »