Le produit intérieur brut français s'est contracté de 0,1% au 1er trimestre, selon l'Institut national des statistiques (Insee). Pas de quoi refroidir l'optimisme du ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, qui se veut malgré tout rassurant.
Pour la reprise, il faudra encore attendre. L'Insee revoit fortement à la baisse sa précédente estimation d'une croissance de 0,4%. En cause, une activité moins forte que prévu dans la construction.
Chute de la consommation des ménages
La consommation des ménages chute, elle-aussi, en avril de 8,3% par rapport au mois de mars, à cause notamment du troisième confinement. Les Français ont acheté moins de biens manufacturés, les ventes de ces produits se sont effondrées de près de 19%, tandis que les dépenses en énergie et l'alimentaire n'ont reculé que très faiblement, précise l'Institut national des statistiques.
Cela n'entame pas l'optimisme du gouvernement qui compte sur une très forte reprise cet été, à l'image du rebond spectaculaire de l'économie en 2020 après le premier confinement. Ce rebond avait été justement porté par la consommation des ménages.
Le ministre de l'Économie maintient son cap : revenir au niveau d'avant la crise au 1er trimestre de 2022 et mise sur 5% de croissance en fin d'année.
RFI
Pour la reprise, il faudra encore attendre. L'Insee revoit fortement à la baisse sa précédente estimation d'une croissance de 0,4%. En cause, une activité moins forte que prévu dans la construction.
Chute de la consommation des ménages
La consommation des ménages chute, elle-aussi, en avril de 8,3% par rapport au mois de mars, à cause notamment du troisième confinement. Les Français ont acheté moins de biens manufacturés, les ventes de ces produits se sont effondrées de près de 19%, tandis que les dépenses en énergie et l'alimentaire n'ont reculé que très faiblement, précise l'Institut national des statistiques.
Cela n'entame pas l'optimisme du gouvernement qui compte sur une très forte reprise cet été, à l'image du rebond spectaculaire de l'économie en 2020 après le premier confinement. Ce rebond avait été justement porté par la consommation des ménages.
Le ministre de l'Économie maintient son cap : revenir au niveau d'avant la crise au 1er trimestre de 2022 et mise sur 5% de croissance en fin d'année.
RFI