Placée en garde à vue au commissariat central depuis sa convocation par la Division Spéciale de la Cybersécurité (DSC), le chroniqueur Badara Gadiaga a brisé le silence en adressant un message empreint de gratitude et de fermeté à ses soutiens.
« Grand merci à tous mes soutiens, aux démocrates de ce pays épris de justice qui m’accompagnent de près ou de loin », a-t-il écrit sur sa page Facebook, dans une déclaration relayée par Dakaractu.
Il a également salué le travail de ses avocats, soulignant leur engagement malgré les difficultés :
« Ils sont restés debout malgré les dures conditions d’exercice de leur mission d’assistance et sacerdotale. »
Malgré les circonstances, Badara Gadiaga se veut rassurant sur son état physique et moral :
« Je vais super bien par la grâce du Tout Puissant et je vis cette injustice avec fierté et dignité. »
Dans un ton résolument combatif, il conclut :
« Je préfère cent ans de prison à une seconde de liberté sans honneur ni dignité. Je préférerais mourir debout ! »
Une déclaration qui intervient dans un contexte de vives réactions autour de son interpellation, alors que les débats sur la liberté d’expression continuent d’animer la scène publique.
« Grand merci à tous mes soutiens, aux démocrates de ce pays épris de justice qui m’accompagnent de près ou de loin », a-t-il écrit sur sa page Facebook, dans une déclaration relayée par Dakaractu.
Il a également salué le travail de ses avocats, soulignant leur engagement malgré les difficultés :
« Ils sont restés debout malgré les dures conditions d’exercice de leur mission d’assistance et sacerdotale. »
Malgré les circonstances, Badara Gadiaga se veut rassurant sur son état physique et moral :
« Je vais super bien par la grâce du Tout Puissant et je vis cette injustice avec fierté et dignité. »
Dans un ton résolument combatif, il conclut :
« Je préfère cent ans de prison à une seconde de liberté sans honneur ni dignité. Je préférerais mourir debout ! »
Une déclaration qui intervient dans un contexte de vives réactions autour de son interpellation, alors que les débats sur la liberté d’expression continuent d’animer la scène publique.

