Dimanche 10 décembre 2017, aux environs de 12 h, un incendie s’est déclenché à la Cour d’appel de Ouaga, sise à Ouaga 2000. On ne déplore pas de perte en vies humaines mais une dizaine de véhicules sous scellés ont été calcinés.
Un feu s’est déclaré autour de midi dimanche 10 décembre à la Cour d’appel de Ouaga. Les flammes se sont attaquées à la trentaine de véhicules parqués dans la Cour, offrant une scène de désolation aux nombreux spectateurs. La désolation est d’autant plus grande lorsqu’on apprend que ces véhicules étaient liés à des procédures judiciaires. Selon le Procureur général, Laurent Poda, en effet, il s’agirait de véhicules mis sous scellés qui étaient entreposés au niveau du Tribunal de grande instance de Ouagadougou et qu’en raison de travaux d’extension en ces lieux, ont étés déplacés à la Cour d’appel.
Les sapeurs pompiers appelés à la rescousse ont pu circoncire le feu qui n’a, fort heureusement, pas touché les locaux de la Cour d’appel. Mais d’où est parti ce feu ? Y’aurait-il une main criminelle derrière les flammes ? Peut-être que les Officiers de la Police judiciaire (OPJ) qui ont déjà effectué les premiers constats d’usage nous le diront très prochainement à l’issue de l’enquête qui a également été ouverte. Pour l’heure en tout cas, aucune cause précise n’a été trouvée.
Un feu s’est déclaré autour de midi dimanche 10 décembre à la Cour d’appel de Ouaga. Les flammes se sont attaquées à la trentaine de véhicules parqués dans la Cour, offrant une scène de désolation aux nombreux spectateurs. La désolation est d’autant plus grande lorsqu’on apprend que ces véhicules étaient liés à des procédures judiciaires. Selon le Procureur général, Laurent Poda, en effet, il s’agirait de véhicules mis sous scellés qui étaient entreposés au niveau du Tribunal de grande instance de Ouagadougou et qu’en raison de travaux d’extension en ces lieux, ont étés déplacés à la Cour d’appel.
Les sapeurs pompiers appelés à la rescousse ont pu circoncire le feu qui n’a, fort heureusement, pas touché les locaux de la Cour d’appel. Mais d’où est parti ce feu ? Y’aurait-il une main criminelle derrière les flammes ? Peut-être que les Officiers de la Police judiciaire (OPJ) qui ont déjà effectué les premiers constats d’usage nous le diront très prochainement à l’issue de l’enquête qui a également été ouverte. Pour l’heure en tout cas, aucune cause précise n’a été trouvée.