L'ancien responsable du PDS, Bassirou Kébé par ailleurs, président du mouvement Liggey Sunu Reew et membre de l’Alliance pour la République (APR), a réagi aux rumeurs sur une possible convocation de l’ancien président Macky Sall. Ces spéculations avaient été lancées par Amadou Moustapha Ndjekk Sarré, responsable de Pastef et actuel ministre de la Formation professionnelle et porte-parole du gouvernement.
Pour Bassirou Kébé, toute tentative d’action judiciaire contre Macky Sall est « un projet voué à l’échec ». Selon lui, les accusations portées contre l’ancien chef de l’État relèvent davantage d’une vendetta politique que d’une véritable quête de justice. « Aujourd’hui, il n’y a pas de réédition des comptes, mais plutôt un règlement de comptes », a-t-il affirmé dans l’émission Salam Sénégal sur Radio Sénégal.
Il rejette les allégations selon lesquelles Macky Sall pourrait être poursuivi sur la base du rapport de la Cour des comptes. « Ils s’accrochent sur ce rapport. Pourtant, il ne cite personne et ne parle pas de falsifications. Il mentionne des écarts, mais pas des détournements », a-t-il ajouté.
Bassirou Kébé estime que les écarts relevés dans le rapport de la Cour des comptes ne sont que des anomalies comptables courantes, qui ne justifient en rien des poursuites judiciaires. « Le président Macky Sall n’est cité nulle part dans ce rapport. En plus, il n’y a pas eu de principe de contradiction, car on n’a pas entendu la version des anciens responsables. Ils peuvent utiliser tous les moyens juridiques à leur disposition, mais je ne pense pas qu’ils réussiront à poursuivre Macky Sall », a-t-il insisté.
En dépit de son appel à la transparence et aux audits, Bassirou Kébé n’a pas manqué de critiquer la gestion actuelle du pays. Selon lui, le régime en place peine à produire des résultats concrets après quatre mois de gouvernance.
« Il n’y a pas de réalisations concrètes, sans compter une communication catastrophique qui a entraîné une baisse des notes du Sénégal par les institutions de notation », a-t-il dénoncé.
Revenant sur les déclarations d’Amadou Moustapha Ndjekk Sarré, qui avait qualifié Macky Sall de « chef de gang », Bassirou Kébé s’est dit indigné. Il considère ces propos comme une insulte à l’ensemble des partisans de l’ancien président.
« Je ne peux concevoir qu’un ministre de la République traite un ancien chef d’État de chef de gang. Cela voudrait dire que moi, Bassirou Kébé, je suis un gangster », a-t-il réagi.
Pour lui, ce type de discours ne fait qu’attiser les tensions politiques et détourner l’attention des véritables priorités du pays. Bassirou Kébé appelle à un débat politique plus apaisé et axé sur les défis socio-économiques auxquels fait face le Sénégal.
Pour Bassirou Kébé, toute tentative d’action judiciaire contre Macky Sall est « un projet voué à l’échec ». Selon lui, les accusations portées contre l’ancien chef de l’État relèvent davantage d’une vendetta politique que d’une véritable quête de justice. « Aujourd’hui, il n’y a pas de réédition des comptes, mais plutôt un règlement de comptes », a-t-il affirmé dans l’émission Salam Sénégal sur Radio Sénégal.
Il rejette les allégations selon lesquelles Macky Sall pourrait être poursuivi sur la base du rapport de la Cour des comptes. « Ils s’accrochent sur ce rapport. Pourtant, il ne cite personne et ne parle pas de falsifications. Il mentionne des écarts, mais pas des détournements », a-t-il ajouté.
Bassirou Kébé estime que les écarts relevés dans le rapport de la Cour des comptes ne sont que des anomalies comptables courantes, qui ne justifient en rien des poursuites judiciaires. « Le président Macky Sall n’est cité nulle part dans ce rapport. En plus, il n’y a pas eu de principe de contradiction, car on n’a pas entendu la version des anciens responsables. Ils peuvent utiliser tous les moyens juridiques à leur disposition, mais je ne pense pas qu’ils réussiront à poursuivre Macky Sall », a-t-il insisté.
En dépit de son appel à la transparence et aux audits, Bassirou Kébé n’a pas manqué de critiquer la gestion actuelle du pays. Selon lui, le régime en place peine à produire des résultats concrets après quatre mois de gouvernance.
« Il n’y a pas de réalisations concrètes, sans compter une communication catastrophique qui a entraîné une baisse des notes du Sénégal par les institutions de notation », a-t-il dénoncé.
Revenant sur les déclarations d’Amadou Moustapha Ndjekk Sarré, qui avait qualifié Macky Sall de « chef de gang », Bassirou Kébé s’est dit indigné. Il considère ces propos comme une insulte à l’ensemble des partisans de l’ancien président.
« Je ne peux concevoir qu’un ministre de la République traite un ancien chef d’État de chef de gang. Cela voudrait dire que moi, Bassirou Kébé, je suis un gangster », a-t-il réagi.
Pour lui, ce type de discours ne fait qu’attiser les tensions politiques et détourner l’attention des véritables priorités du pays. Bassirou Kébé appelle à un débat politique plus apaisé et axé sur les défis socio-économiques auxquels fait face le Sénégal.
