Habib Beye ne veut surtout pas que son équipe se grise. Malgré une remontée spectaculaire en Ligue 1 et une série de résultats qui ont totalement changé le visage du Stade Rennais, l’entraîneur sénégalais appelle au calme, à la rigueur et à la lucidité. La veille du déplacement à Metz, ce vendredi 28 novembre 2025, le technicien a clairement affiché son refus de s’enflammer.
Il y a à peine un mois, son nom circulait déjà comme potentiel premier entraîneur limogé de la saison. Aujourd’hui, après trois victoires consécutives – dont un cinglant 4-1 contre l’AS Monaco – et un nul, Rennes pointe désormais à la 6e place du classement. Mais pour Beye, hors de question de parler de renaissance ou de miracle.
« Pour moi, ce n’est pas un rebond spectaculaire », tranche-t-il d’entrée. Le coach explique avoir toujours eu confiance dans la progression de son groupe : « J’étais sûr que, par rapport à ce que nous étions capables de faire sur 45 minutes – et malheureusement pas sur 90 minutes –, cette équipe monterait en qualité et serait plus constante dans la durée. On a renforcé les idées claires dans notre jeu, mais on n’a pas fondamentalement changé l’approche avec ce groupe. »
S’il admet que certaines décisions récentes ont porté leurs fruits, Beye insiste sur la continuité du travail : « Des choix qui fonctionnent aujourd’hui ont été faits aussi. Le groupe prend confiance à travers les résultats. (…) La dynamique est très bonne, mais ce n’est que trois matches. »
Même la performance historique – sa première série de trois succès d’affilée en tant qu’entraîneur rennais – ne suffit pas à lui faire perdre sa prudence : « Cela paraît étrange, et je crois que c’est la première fois comme entraîneur que j’enchaîne trois victoires de suite à Rennes, mais parler de rebond spectaculaire, ça signifierait aussi qu’on s’en contente. Je veux que l’on reste froid et lucide », prévient-il.
À l’heure d’aborder le déplacement à Metz, Beye veut donc un groupe concentré, affamé et prêt à prouver que cette embellie n’est pas un simple épisode, mais bien le début d’une véritable ascension.
Il y a à peine un mois, son nom circulait déjà comme potentiel premier entraîneur limogé de la saison. Aujourd’hui, après trois victoires consécutives – dont un cinglant 4-1 contre l’AS Monaco – et un nul, Rennes pointe désormais à la 6e place du classement. Mais pour Beye, hors de question de parler de renaissance ou de miracle.
« Pour moi, ce n’est pas un rebond spectaculaire », tranche-t-il d’entrée. Le coach explique avoir toujours eu confiance dans la progression de son groupe : « J’étais sûr que, par rapport à ce que nous étions capables de faire sur 45 minutes – et malheureusement pas sur 90 minutes –, cette équipe monterait en qualité et serait plus constante dans la durée. On a renforcé les idées claires dans notre jeu, mais on n’a pas fondamentalement changé l’approche avec ce groupe. »
S’il admet que certaines décisions récentes ont porté leurs fruits, Beye insiste sur la continuité du travail : « Des choix qui fonctionnent aujourd’hui ont été faits aussi. Le groupe prend confiance à travers les résultats. (…) La dynamique est très bonne, mais ce n’est que trois matches. »
Même la performance historique – sa première série de trois succès d’affilée en tant qu’entraîneur rennais – ne suffit pas à lui faire perdre sa prudence : « Cela paraît étrange, et je crois que c’est la première fois comme entraîneur que j’enchaîne trois victoires de suite à Rennes, mais parler de rebond spectaculaire, ça signifierait aussi qu’on s’en contente. Je veux que l’on reste froid et lucide », prévient-il.
À l’heure d’aborder le déplacement à Metz, Beye veut donc un groupe concentré, affamé et prêt à prouver que cette embellie n’est pas un simple épisode, mais bien le début d’une véritable ascension.

