La Communauté des pays de langue portugaise (CPLP) a exprimé, dans un communiqué transmis à Exclusif.net, sa « ferme condamnation » de toute prise de pouvoir par la force en Guinée-Bissau, alors que le pays traverse une nouvelle phase d’instabilité institutionnelle.
L’organisation régionale se dit « profondément préoccupée » par les événements récents survenus à Bissau, qu’elle qualifie de « rupture constitutionnelle ». Elle affirme sa « solidarité totale » envers le peuple bissau-guinéen en cette période de crise politico-institutionnelle.
Rappelant que sa mission d’observation électorale avait constaté un processus de vote « pacifique, ordonné et civique », la CPLP se dit « perplexe » face à la suspension soudaine du scrutin. L’organisation dénonce également « la détention arbitraire et injustifiée d’agents politiques et institutionnels ».
Dans son communiqué, la CPLP condamne sans équivoque l’interruption du processus électoral et exhorte les autorités de fait à un « retour immédiat à la normalité constitutionnelle ». Elle appelle par ailleurs l’ensemble des acteurs à « garder leur calme » et à éviter « toute action hâtive susceptible d’entraîner des violences ».
L’institution lusophone réaffirme enfin son engagement à accompagner toutes initiatives visant à « rétablir l’ordre constitutionnel » et à garantir l’achèvement du processus électoral en Guinée-Bissau.
L’organisation régionale se dit « profondément préoccupée » par les événements récents survenus à Bissau, qu’elle qualifie de « rupture constitutionnelle ». Elle affirme sa « solidarité totale » envers le peuple bissau-guinéen en cette période de crise politico-institutionnelle.
Rappelant que sa mission d’observation électorale avait constaté un processus de vote « pacifique, ordonné et civique », la CPLP se dit « perplexe » face à la suspension soudaine du scrutin. L’organisation dénonce également « la détention arbitraire et injustifiée d’agents politiques et institutionnels ».
Dans son communiqué, la CPLP condamne sans équivoque l’interruption du processus électoral et exhorte les autorités de fait à un « retour immédiat à la normalité constitutionnelle ». Elle appelle par ailleurs l’ensemble des acteurs à « garder leur calme » et à éviter « toute action hâtive susceptible d’entraîner des violences ».
L’institution lusophone réaffirme enfin son engagement à accompagner toutes initiatives visant à « rétablir l’ordre constitutionnel » et à garantir l’achèvement du processus électoral en Guinée-Bissau.