Alors qu’il arrive en fin de mandat ce mois-ci, le président de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embaló, a été interpellé ce dimanche 23 février sur la date de la prochaine élection présidentielle. En marge d’une rencontre avec le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, le chef de l’État bissau-guinéen a tenu à rassurer l’opinion en affirmant que toutes les formalités nécessaires seraient accomplies pour la tenue du scrutin, prévu le 30 novembre 2025.
Cette annonce intervient dans un contexte marqué par une vive tension politique en Guinée-Bissau. L’opposition accuse en effet Embaló de chercher à prolonger son maintien au pouvoir en retardant l’organisation des élections. Plusieurs acteurs politiques et membres de la société civile dénoncent une gestion opaque du processus électoral et réclament des garanties pour un scrutin transparent et inclusif.
Depuis plusieurs mois, la Guinée-Bissau traverse une crise institutionnelle, exacerbée par des conflits entre le président et le Parlement. Certains observateurs estiment que la déclaration d’Embaló vise à apaiser la pression nationale et internationale alors que des manifestations ont été organisées pour exiger un calendrier électoral clair.
Reste à savoir si cette annonce suffira à calmer les tensions et si le processus électoral pourra se dérouler sans entrave d’ici au 30 novembre prochain.
Cette annonce intervient dans un contexte marqué par une vive tension politique en Guinée-Bissau. L’opposition accuse en effet Embaló de chercher à prolonger son maintien au pouvoir en retardant l’organisation des élections. Plusieurs acteurs politiques et membres de la société civile dénoncent une gestion opaque du processus électoral et réclament des garanties pour un scrutin transparent et inclusif.
Depuis plusieurs mois, la Guinée-Bissau traverse une crise institutionnelle, exacerbée par des conflits entre le président et le Parlement. Certains observateurs estiment que la déclaration d’Embaló vise à apaiser la pression nationale et internationale alors que des manifestations ont été organisées pour exiger un calendrier électoral clair.
Reste à savoir si cette annonce suffira à calmer les tensions et si le processus électoral pourra se dérouler sans entrave d’ici au 30 novembre prochain.