Le Président de transition, Horta Inta-a, qui dirige le Haut Commandement militaire chargé de rétablir la sécurité nationale et l’ordre public, a nommé Amadu Tidjane Baldé nouveau Procureur général de la République, en remplacement de Fernando Gomes.
Pour occuper ce poste, Amadu Tidjane Baldé quitte la présidence de la Cour des comptes, fonction qu’il exerçait depuis juillet 2021, à la suite de sa nomination par l’ancien président Umaro Sissoco Embaló. La vacance ainsi créée est désormais comblée par la désignation de Gamal Abdel Cassama comme nouveau président de la Cour des comptes.
Dans le même temps, le Haut Commandement militaire a annoncé ce jeudi la dissolution du Conseil supérieur de la magistrature du ministère public. Cette décision confère au Procureur général de la République des pouvoirs considérablement élargis, notamment celui de muter les magistrats entre différentes zones juridictionnelles.
Parallèlement, la junte largement décriée et non reconnue par toutes les organisations sérieuses — poursuit l’installation de son autorité. Elle est parvenue à bloquer entièrement le processus politique, malgré les mises en garde de la CEDEAO, qui lui avait donné quinze jours pour « revenir à de meilleurs sentiments » et restituer le pouvoir aux civils. Mais le général Horta N’Tam, que plusieurs sources disent être manipulé par l’ex-président Umaro Sissoco Embaló, semble défier ouvertement toutes les organisations régionales et internationales.
Pour occuper ce poste, Amadu Tidjane Baldé quitte la présidence de la Cour des comptes, fonction qu’il exerçait depuis juillet 2021, à la suite de sa nomination par l’ancien président Umaro Sissoco Embaló. La vacance ainsi créée est désormais comblée par la désignation de Gamal Abdel Cassama comme nouveau président de la Cour des comptes.
Dans le même temps, le Haut Commandement militaire a annoncé ce jeudi la dissolution du Conseil supérieur de la magistrature du ministère public. Cette décision confère au Procureur général de la République des pouvoirs considérablement élargis, notamment celui de muter les magistrats entre différentes zones juridictionnelles.
Parallèlement, la junte largement décriée et non reconnue par toutes les organisations sérieuses — poursuit l’installation de son autorité. Elle est parvenue à bloquer entièrement le processus politique, malgré les mises en garde de la CEDEAO, qui lui avait donné quinze jours pour « revenir à de meilleurs sentiments » et restituer le pouvoir aux civils. Mais le général Horta N’Tam, que plusieurs sources disent être manipulé par l’ex-président Umaro Sissoco Embaló, semble défier ouvertement toutes les organisations régionales et internationales.

