L’Entente SYTJUST–UNTJ a officiellement annoncé ce samedi 19 juillet qu’elle ne reconnaît plus Mamadou Lamine Dianté, président du Haut Conseil du Dialogue Social, comme médiateur dans le cadre de la crise en cours dans le secteur de la justice.
Dans un communiqué rendu public, l’organisation syndicale dénonce l’intervention télévisée de M. Dianté, diffusée la veille, qu’elle qualifie de « tentative manifeste d’obtenir la suspension du mouvement de grève » en cours. L’Entente reproche à M. Dianté d’avoir pris publiquement position, en violation de la neutralité requise par ses fonctions.
« Loin de respecter cette exigence, Monsieur Dianté persiste dans une posture partisane », peut-on lire dans le texte, qui accuse également le président du Haut Conseil de vouloir « instrumentaliser cette grève à des fins politiques ».
Face à ce qu’elle considère comme un manquement à l’impartialité et à la neutralité, l’Entente SYTJUST–UNTJ juge la récusation de M. Dianté « non seulement légitime mais nécessaire », et appelle le gouvernement à en tirer les conséquences.
Dans un communiqué rendu public, l’organisation syndicale dénonce l’intervention télévisée de M. Dianté, diffusée la veille, qu’elle qualifie de « tentative manifeste d’obtenir la suspension du mouvement de grève » en cours. L’Entente reproche à M. Dianté d’avoir pris publiquement position, en violation de la neutralité requise par ses fonctions.
« Loin de respecter cette exigence, Monsieur Dianté persiste dans une posture partisane », peut-on lire dans le texte, qui accuse également le président du Haut Conseil de vouloir « instrumentaliser cette grève à des fins politiques ».
Face à ce qu’elle considère comme un manquement à l’impartialité et à la neutralité, l’Entente SYTJUST–UNTJ juge la récusation de M. Dianté « non seulement légitime mais nécessaire », et appelle le gouvernement à en tirer les conséquences.

