Dans un communiqué envoyé à exclusif.net, Bougar Diouf, président de l’Union des Panafricanistes et enseignant-formateur, est revenu avec lucidité et fermeté sur les tensions actuelles qui agitent la majorité présidentielle. Il a notamment salué l’intervention récente du Premier ministre Ousmane Sonko, président du parti Pastef, qu’il considère comme « normale, légitime et même responsable ».
« La clarté dans la communication est un signe de maturité politique », a-t-il souligné, estimant qu’il est du devoir d’un chef de parti de parler à sa base, surtout « dans les moments de doute ou de tension ».
Revenant sur la genèse de la coalition Diomaye Président, Bougar Diouf rappelle que les alliés ont soutenu Pastef « sans conditions », mettant de côté leurs ambitions personnelles « pour porter au pouvoir une vision, une rupture, un espoir ». Selon lui, cette posture exige aujourd’hui de demeurer fidèles à l’esprit initial, en gouvernant « non par la force, mais par l’élégance politique, le respect des rôles, et la solidarité dans l’action publique ».
Cependant, l’universitaire ne cache pas ses inquiétudes sur les « soupçons internes » évoqués par Ousmane Sonko. À ce propos, il insiste sur le fait que la coalition n’est « nullement responsable » des séquelles constatées : « Le mode de nomination — souvent critiqué a parfois semé l’incompréhension. Il est troublant de voir que plusieurs alliés promus à des postes stratégiques semblent déjà se projeter comme adversaires potentiels du Pastef pour l’échéance de 2029. »
Bougar Diouf va plus loin, accusant certains d’« alimenter subtilement » une fracture entre le Président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre, Ousmane Sonko. Un comportement qu’il qualifie de « jeu dangereux », appelant à y mettre un terme sans délai.
Face à cette situation, il propose une solution politique : « Il est peut-être temps d’envisager un remaniement gouvernemental. Non pas pour exclure, mais pour recentrer : écarter ceux qui œuvrent à diviser, et renforcer ceux qui croient au tandem Sonko–Diomaye comme socle de la stabilité politique et de la réussite du projet. »
Dans une posture apaisée et constructive, Bougar Diouf affirme que la mission de la coalition n’est pas de prendre parti, mais de « favoriser des retrouvailles franches », « créer un climat de confiance » et « protéger cette complémentarité unique qui a fait rêver et mobilisé des millions de Sénégalais ».
« Qu’Allah préserve cette dynamique historique et éloigne ceux qui, par ambition ou calcul, veulent l’affaiblir. Restons dignes. Restons unis », a-t-il conclu dans une prière solennelle.
« La clarté dans la communication est un signe de maturité politique », a-t-il souligné, estimant qu’il est du devoir d’un chef de parti de parler à sa base, surtout « dans les moments de doute ou de tension ».
Revenant sur la genèse de la coalition Diomaye Président, Bougar Diouf rappelle que les alliés ont soutenu Pastef « sans conditions », mettant de côté leurs ambitions personnelles « pour porter au pouvoir une vision, une rupture, un espoir ». Selon lui, cette posture exige aujourd’hui de demeurer fidèles à l’esprit initial, en gouvernant « non par la force, mais par l’élégance politique, le respect des rôles, et la solidarité dans l’action publique ».
Cependant, l’universitaire ne cache pas ses inquiétudes sur les « soupçons internes » évoqués par Ousmane Sonko. À ce propos, il insiste sur le fait que la coalition n’est « nullement responsable » des séquelles constatées : « Le mode de nomination — souvent critiqué a parfois semé l’incompréhension. Il est troublant de voir que plusieurs alliés promus à des postes stratégiques semblent déjà se projeter comme adversaires potentiels du Pastef pour l’échéance de 2029. »
Bougar Diouf va plus loin, accusant certains d’« alimenter subtilement » une fracture entre le Président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre, Ousmane Sonko. Un comportement qu’il qualifie de « jeu dangereux », appelant à y mettre un terme sans délai.
Face à cette situation, il propose une solution politique : « Il est peut-être temps d’envisager un remaniement gouvernemental. Non pas pour exclure, mais pour recentrer : écarter ceux qui œuvrent à diviser, et renforcer ceux qui croient au tandem Sonko–Diomaye comme socle de la stabilité politique et de la réussite du projet. »
Dans une posture apaisée et constructive, Bougar Diouf affirme que la mission de la coalition n’est pas de prendre parti, mais de « favoriser des retrouvailles franches », « créer un climat de confiance » et « protéger cette complémentarité unique qui a fait rêver et mobilisé des millions de Sénégalais ».
« Qu’Allah préserve cette dynamique historique et éloigne ceux qui, par ambition ou calcul, veulent l’affaiblir. Restons dignes. Restons unis », a-t-il conclu dans une prière solennelle.

