L’Assemblée nationale a présenté les détails du budget 2026 du ministère des Infrastructures, qui s’élève à 716,1 milliards de FCFA. Selon les documents publiés, 68 % de cette enveloppe est consacrée aux routes et aux chemins de fer, confirmant la priorité donnée à la mobilité terrestre, à la sécurité et à l’entretien des infrastructures.
Le ministère met également l’accent sur l’équité territoriale, avec 68,2 milliards destinés à réduire les disparités régionales. Les infrastructures portuaires et aéroportuaires connaissent un renforcement notable, tandis que plus de 8,5 milliards sont dédiés à la compétitivité logistique du pays.
En tout, cinq programmes structurent ce budget, dont le plus important concerne le développement et l’entretien des infrastructures routières et ferroviaires, pour un montant de 483,6 milliards de FCFA.
Dans sa déclaration, le ministre des Infrastructures Déthié Fall a tenu à mettre en garde les entreprises publiques, privées ou en partenariat chargées de l’exécution des projets. Soucieux de mettre fin aux dérives couramment dénoncées par les citoyens — retards de chantiers, qualité insuffisante, malfaçons il a tenu un discours de fermeté : « On n’est pas condamné dans la médiocrité », a-t-il déclaré.
Le ministre a assuré que désormais, les retards injustifiés et la mauvaise qualité auront des conséquences sévères : résiliations de contrats, sanctions financières, voire exclusion des futurs marchés publics. « Je ne sais pas pour combien de temps je serai dans ce ministère… Que les entreprises le sachent : nous n’allons plus tolérer ces retards qui ne se justifient pas. On n’est pas condamné à travailler dans la médiocrité. Une rigueur martiale sera de mise. J’avertis toutes les entreprises, la rupture est totale », a averti Déthié Fall, sans langue de bois.
Le ministère met également l’accent sur l’équité territoriale, avec 68,2 milliards destinés à réduire les disparités régionales. Les infrastructures portuaires et aéroportuaires connaissent un renforcement notable, tandis que plus de 8,5 milliards sont dédiés à la compétitivité logistique du pays.
En tout, cinq programmes structurent ce budget, dont le plus important concerne le développement et l’entretien des infrastructures routières et ferroviaires, pour un montant de 483,6 milliards de FCFA.
Dans sa déclaration, le ministre des Infrastructures Déthié Fall a tenu à mettre en garde les entreprises publiques, privées ou en partenariat chargées de l’exécution des projets. Soucieux de mettre fin aux dérives couramment dénoncées par les citoyens — retards de chantiers, qualité insuffisante, malfaçons il a tenu un discours de fermeté : « On n’est pas condamné dans la médiocrité », a-t-il déclaré.
Le ministre a assuré que désormais, les retards injustifiés et la mauvaise qualité auront des conséquences sévères : résiliations de contrats, sanctions financières, voire exclusion des futurs marchés publics. « Je ne sais pas pour combien de temps je serai dans ce ministère… Que les entreprises le sachent : nous n’allons plus tolérer ces retards qui ne se justifient pas. On n’est pas condamné à travailler dans la médiocrité. Une rigueur martiale sera de mise. J’avertis toutes les entreprises, la rupture est totale », a averti Déthié Fall, sans langue de bois.

