« Profondément déçus » par l’inaction de l’Union européenne, les 206 hauts diplomates européens signataires (dont 110 anciens ambassadeurs) de cette lettre rendue publique le 26 août demandent aux États membres d’agir et vite, individuellement ou en petits groupes. Ils déclarent « ne pas pouvoir rester paralysés si les Vingt-Sept ne peuvent agir, car cela trahirait leurs valeurs ».
Ces anciens ambassadeurs et hauts fonctionnaires appellent donc à une action ferme, pour défendre le respect du droit international et des droits humains en Palestine, une action indispensable pour préserver la crédibilité de l’Union sur la scène internationale et auprès de ses citoyens.
Neuf approches
Et pour cela, ils proposent neuf approches. Parmi celles-ci, la suspension des licences d’exportation d’armes, l’interdiction du commerce de biens et de services avec les colonies illégales et l’interdiction pour les centres de données européens de traiter des données provenant du gouvernement israélien ou d’entreprises liées aux activités d’Israël à Gaza et dans les territoires occupés.
Enfin, la lettre condamne les projets israéliens d’étendre les colonies illégales en Cisjordanie et les actions violentes des colons.
Ces anciens ambassadeurs et hauts fonctionnaires appellent donc à une action ferme, pour défendre le respect du droit international et des droits humains en Palestine, une action indispensable pour préserver la crédibilité de l’Union sur la scène internationale et auprès de ses citoyens.
Neuf approches
Et pour cela, ils proposent neuf approches. Parmi celles-ci, la suspension des licences d’exportation d’armes, l’interdiction du commerce de biens et de services avec les colonies illégales et l’interdiction pour les centres de données européens de traiter des données provenant du gouvernement israélien ou d’entreprises liées aux activités d’Israël à Gaza et dans les territoires occupés.
Enfin, la lettre condamne les projets israéliens d’étendre les colonies illégales en Cisjordanie et les actions violentes des colons.

