Sinistre depuis le coup d’État du général Brice Clotaire Oligui Nguéma du 30 août 2023, le siège du PDG a brusquement repris des couleurs. Les militants sont revenus en masse assister à l’installation d’Angélique Ngoma, la nouvelle secrétaire générale provisoire dont la mission fondamentale est de relancer le parti détrôné du pouvoir par les militaires. « Parti de pouvoir hier, parti sans pouvoir aujourd'hui. Par dynamisme, nous continuons à dire : "le parti démocratique gabonais ne sera jamais enterré" ».
Les nouveaux dirigeants appellent à l’unité et à la mobilisation pour sauver le parti. Jean-Marie Ogandaga, ancien ministre : « On peut tomber, c'est pas un délit de tomber. Il y a espoir. Il y a espoir que demain sera meilleur qu'aujourd'hui. »
Félicien Evoung, militant de base, conteste la nouvelle réorganisation du parti. « C'est un coup d'État qui a été fait à l'encontre d'Ali Bongo Ondimba qui a l'essentiel de ses pouvoirs. »
Les dirigeants actuels sont chargés d’assurer la transition jusqu’au prochain congrès qui nommera la nouvelle équipe, assure Paul Biyoghe Mba, premier vice-président du parti.
Les nouveaux dirigeants appellent à l’unité et à la mobilisation pour sauver le parti. Jean-Marie Ogandaga, ancien ministre : « On peut tomber, c'est pas un délit de tomber. Il y a espoir. Il y a espoir que demain sera meilleur qu'aujourd'hui. »
Félicien Evoung, militant de base, conteste la nouvelle réorganisation du parti. « C'est un coup d'État qui a été fait à l'encontre d'Ali Bongo Ondimba qui a l'essentiel de ses pouvoirs. »
Les dirigeants actuels sont chargés d’assurer la transition jusqu’au prochain congrès qui nommera la nouvelle équipe, assure Paul Biyoghe Mba, premier vice-président du parti.