Parmi les réactions d’élus aux résultats du premier tour de la présidentielle, celle du maire d’Annezin, près de Béthune (Pas-de-Calais), a un peu défrisé.
« Il est possible que je démissionne, car je ne veux pas consacrer ma vie à des connards. Je regrette l’insulte, ce vocabulaire n’est pas le vocabulaire que j’utilise d’ordinaire.»
« Il est possible que je démissionne, car je ne veux pas consacrer ma vie à des connards. Je regrette l’insulte, ce vocabulaire n’est pas le vocabulaire que j’utilise d’ordinaire.»