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F24 et autres, badauds, saltimbaques, racoleurs sur la voie politique de france et d’Amérique: Sonko, et vos « détenus politiques »ont fait pire que Filon, Strauss Kahn, le président Trump et les assaillants du capitole ! (Par Me Djibril War)

Samedi 23 Septembre 2023

 Des peines de condamnation allant de 10 ,18  à 22 ans ans  de prison. Ces décisions   n’ ont pas été rendues par une juridiction sénégalaise. Elles viennent de juges d’un pays cité comme référence, Grand défenseur des Droits et des Libertés : les États-Unis d’Amérique. Ils avaient  prononcé  contre 200 membres des Proud Boys qui avaient  pris d'assaut le 6 janvier 2021 le Capitole, siège du Congrès américain, « sanctuaire de la démocratie américaine ».

Ces  mis en cause  tentaient   d'y empêcher la certification de la victoire du démocrate Joe Biden sur le président républicain sortant Donald Trump.« Cette journée "a brisé notre tradition de transfert pacifique du pouvoir", avait   déploré le juge Timothy Kelly. »"L'absence physique de Tarrio n'avait en rien atténué  la gravité de ses actes puisqu'il était davantage un général qu'un soldat", avaient fait valoir les procureurs .Si nous avons fait cas de ces décisions , c’est parce que des sénégalais qui se réclament de la  société civile  , « droits de l’hommiste », des badauds, fainéants  pour la plupart de F24, « Flâneurs et Racoleurs le jour  sur la Voie Politique » avec avaient repris leurs stupides et insipides marches,  après maléfiques rites de bruits de casseroles.

Ces intellectuels « intellectualistes »  d’ici  et de la diaspora se tournent toujours  vers ce Pays. Ils en  ont  toujours fait   leur Mur des Lamentations  pour jeter par leurs  plaintes et complaintes l’opprobre sur leur Patrie,  l’État du  Sénégal. Nous avons pris la responsabilité que nous assumons d’extirper de cette liste des   142 pétitionnaire, après celle du « Non » lors du Référendum de 2016, nos éminents professeurs : l’ancien ministre et Médiateur  de la République Serigne Diop, le doyen Kader Boye.



Nous nous rappelons encore, non sans émotion de  ces universitaires hors classe en y associant  le professeur et non moins ancien ministre Ibrahima Fall (La Coutume au Secours du Droit : la Valeur du Serment et le Respect de la Parole donnée de nos anciens Rois)  et le normativiste   Jacques Mariel Zouankeu, digne héritier du professeur Kelsen. Ces derniers  nous avaient enseigné  pour la première fois l’État en Droit Constitutionnel, en Droit Administratif et en  Droit International  Public et Privé. Que de vieux souvenirs alors en revoyant avec peine le spectacle de saccages de nos  consulats et nos ambassades  en Europe, Amérique, par les partisans de Sonko suite à son arrestation.


Ces  illustres enseignants  nous  apprenaient    que ces institutions aujourd’hui profanées étaient bien une partie intégrante de l’État  du Sénégal, étant son prolongement. Bien des décennies après, l’illustration de ces thèses   est encore vivante dans nos mémoires à travers des arrêts de référence de la Cour internationale de Justice     qu’ils nous citaient comme l’affaire  Victor Raoul Haya De la Torre ,  plus près, l’affaire du meurtre de l’ambassadeur du Mali Modibo Diarra en juin 1975 par son chauffeur et  l’affaire  «  Friedrich Nottebohm  où cette même Cour  en 1955  définissait  pour la première fois la nationalité en matière de refuge dans une ambassade ,d’asile ,et d’extradition comme : « un lien juridique  ayant à sa base un fait social de rattachement , une solidarité effective d’existence, d’intérêts, de sentiments , joints à une société de droits et de devoirs ».


Pour la première fois dans l’histoire, des sénégalais, des partisans de l’opposant Sonko, s’étaient   illustrés avec une haine, une  sauvagerie inqualifiables dans des actes bien terroristes en s’saccageant   ces lieux et en détruisant tous les documents. Ce qui avait profondément peiné tout sénégalais digne de ce nom , en  premier  mon sieur le Chef  de l’État  Macky Sall. Pour cause, il avait fait de la Diaspora la Quinzième Région depuis la création de notre parti  APR en décembre 2008. Dans le dossier  du Capitole ,les juges américains n’avaient pas suivi le procureur et les agents du FBI et  l’Attorney qui invoquaient « le terrorisme  domestique » même si les peines  appliquées aux coupables étaient lourdes. Cette nouvelle forme de terrorisme  est  devenue un phénomène  dans
 
 
 
 
 
 
les pays occidentaux et dans certaines parties de l’ Afrique, où des terroristes solitaires ayant des motifs politiques ou autres , religieux , ethniques causent aussi des massacres comme  tout
récemment au Mali .  Aujourd’hui ce défi consiste à identifier une menace diffuse et souterraine qu’est le terrorisme domestique qui frappe sans prévenir ; et cela fait plus peur. Il existe plusieurs définitions   du terrorisme vu la pluralité et la complexité du phénomène. À ce jour, on n’est pas encore parvenu à établir une définition   complète et harmonisée. Les  États- Unis  d'Amérique   ont défini le terrorisme comme « un acte de violence prémédité́ et motivé de façon politique, perpétré́ contre des cibles non- combattantes par des groupes sous-nationaux ou des agents clandestins ». 


S’agissant du Sénégal, depuis la Loi 65 -60 du 21 juin 1965 portant Code Pénal, des aménagements , des modifications ont été apportés dans la définition du mot terrorisme. L’article 279  de cette loi relative    au terrorisme s’est adapté au contexte en s’inspirant des instruments internationaux , notamment la Convention d’Alger, pour la  Prévention et la Lutte contre le Terrorisme. Avec la Loi 2007-01 du 12 Février  2007 sur la Prévention et le Financement du Terrorisme.



Selon cet article : « Constituent des Actes de terrorisme, lorsqu’ils sont commis intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective  ayant pour but de troubler l’ordre public ou le fonctionnement normal des institutions nationales ou internationales   , par l’intimidation  ou la terreur , les infractions suivantes : 1) les attentats et complots visés par les articles 72  à savoir celui dont le but aura été de détruire ou de changer le régime constitutionnel , soit de troubler par des moyens illégaux le remplacement des dites autorités , soit d’exciter  les citoyens ou habitants à s’armer contre l’autorité de l’État , soit à porter atteinte à l’intégrité du territoire national , punis par les peines prévues par l’article 91  à savoir les travaux forcés à perpétuité ;2) les violences ou voies de fait commises contre les personnes  et les destructions ou dégradations commises lors de rassemblements et visées par l’ article 98 du présent Code pénal .


L’article  279 de la Loi numéro 74 -13 de la Loi du 24 juin 1974 dispose : « seront punis dans les conditions suivantes : de 1 à 5 ans  de prison en cas d’action menée à la suite d’un mot d’ordre verbal ou écrit, les instigateurs et organisateurs et les personnes qui auront participé volontairement à cette action quelque forme que leur participation ait revêtue ;…»


On pourrait bien pour justifier la qualification des actes commis par  le leader de Pastef  et compagnies  comme terroristes  la Loi 2018-03 du 23 Février 2018 relative à la lutte contre le Blanchiment de Capitaux  et le Financement du Terrorisme  et enfin la Loi  21-10 du 25 juin 2021 relative à la Prévention  contre les Actes de Terrorisme. Il faut oser le dire, comme l’ont fait des hommes très courageux qui n'avaient cessé de tirer sur la sonnette d’alarme  sur la présence du terrorisme  au Sénégal pour les citer les journalistes Madiambal Diagne, Cheikh Yérim Seck, surtout Mouthbane, l’analyste et spécialiste sur les questions terroristes au Sahel , auteur d’ouvrages de référence « Le Crime Organisé dans le  Sahel, », « Les Sénégalais De Boko Haram ». Ce dernier avait bien démontré   que le terrorisme était  bien présent au Sénégal. 


Les  évènements de février, mars 2021, juin 2023, l’interpellation de membres des Brigades Spéciales   et tout récemment l’attentat au cocktail molotov sur  un bus rempli de personnes, causant la mort de deux jeunes filles calcinées l’ont bien démontré. La préoccupation chez bon nombre de citoyens était la posture de l’État qui tardait   à exercer ses charges régaliennes en prononçant sa dissolution.  Heureusement, c’est  chose faite aujourd’hui. Depuis que l’auteur de ces faits et ses complices ont été arrêtés et mis en détentio , a-t-on vu depuis des scènes de violence avec mort d’hommes, de saccages , pillages, destruction, incendie de biens publics privés ? La réponse est bien sûr non. Les jeunes sur qui ce pyromane et psychopathe  comptait beaucoup passent aujourd’hui leurs vacances tranquillement.   Il était   difficile d’accorder un statut de parti
 
 
 
 
 
politique à cette organisation qui prônait   un programme mystérieux dit « PROJET ». Les tragiques scènes de violence  de février , mars 2021 avec l’affaire  du supposé viol de adji sarr avec son lot de
morts,  de nombreux blessés et des dégâts le dossier Prodac  avec le Ministre Mame Mbaye Niang ,
sans oublier l’affaire des « 94 milliards »  une sordide tentative de chantage et d’’extorsion de fonds de « l’intègre et incorruptible  PROS »les actes de sabotage, de pillage  dans la ville sainte de Touba en
février 2023 , le premier juin ,jour du prononcé du verdict et de  ’attentat au cocktail molotov  sur un bus rempli ,causant la mort de deux filles calcinées  et de nombreux blessés avaient  fini de convaincre aujourd’hui les plus sceptiques jusqu’ici.  Ses partisans  bien identifiés, sous des pseudonymes « Akhénaton, Kayz, Mollah Morgan, Tounkara, Djidji Dji, Moussa Camara, depuis  l’Europe, l’Amérique,  n’ont eu  de cesse de déverser  des flots d’insanités à travers les réseaux sociaux , par  audio, images montage vidéo,  sur la personne de nos illustres Guides Religieux, leurs descendants, marabouts ,Khalifes Généraux . Ils organisent des   opérations de    levées de fonds de guerre visées par l’article 279-3 du Code pénal. Et que dire de ses appels  incessants « Mortal Combat ,  Combat Final » à ses partisans de  se rendre á Dakar pour y déloger le Président Macky Sall, et lui réserver le sort qui avait fait à l’ancien Président libérien , en le découpant  en morceaux ? 


Quid   du  sort de ces personnes physiques, morales ,  comme Orange  Sonatel, , la station Total   qui  avaient subi à Touba le même traitement que ceux de février  mars 2021  à Mbacké  avec de gros  dégâts, dommages corporels, matériels   ? Nous  avions invité  toutes ces victimes   de faire dresser un constat de ces préjudices par voie d’huissier et de porter  plainte contre l’instigateur Sonko et se de constituer parties civiles.  



Le leader de « FRAPP , France Dégage » n’est pas en reste. Nous avions aussi soutenu à l’époque que toutes les personnes identifiées et  interpellées  qui  avaient  contrevenu à l’interdiction de la tenue de manifestations à Touba , Mbacké , sans autorisation du Préfet ,en vertu  des articles  96 du Code pénal  devaient être poursuivies pour délit, voir crime d’attroupements non armés qui pourraient troubler l’ordre public ou armés,   92,( armes apparentes , cachées lors de réunions , rassemblements  ainsi que  les articles  95 , 98 du Code pénal : « Lorsqu’au cours d’actions diverses et de rassemblements illicites ou licites , des violences ou voies de fait sont commises contre les personnes ou que des destructions ou dégradations sont causées aux biens , les instigateurs, organisateurs et participants  seront punis en cas de rassemblement licites ou illicites d’un emprisonnement de 1 à 5 ans .  Il en est de même de l’article 85 du code pénal qui punit de la détention criminelle  à temps de dix à vingt -ans , les individus qui, dans un mouvement insurrectionnel comme en mars 2021 et en février et juin 2023 auront fait ou aidé à faire des barricades, des retranchements, ou tous autres travaux  ayant pour objet  d’entraver ou d’arrêter l’exercice de la fonction publique. Ce fut le cas en Casamance avec les jeunes de Pastef  qui avaient érigé des barricades, construit des murs, rançonnant les conducteurs et usagers de la route.


Et que dire alors des membres des Brigades spéciales et d’autres pris la main dans l’essence en train de préparer des engins explosifs et des herses pour renverser les véhicules  des Forces de l’Ordre et de Défense ?    Où  étaient et que faisaient donc en ces moments  ces saltimbanques, troubadours et badauds de F24   ,signataires de cet autodafé en direction du Pouvoir ,polluant l’atmosphère de leurs épanchements fétides de cris d’orfraie  de « confiscation de la Démocratie », en exigeant la libération immédiate de ces fossoyeurs de la paix , la stabilité qu’ils appellent  « détenus politiques » ? Ils exultaient, chantaient  en suivant ces scènes  d’apocalypse ci décrites, retransmises par les chaînes de télévision pro- sonkistes des « Mille Savanes ». Ont-ils attendu que leur « champion  aux pieds d’argile » s’écroule de ses forfaitures pour agiter le drapeau blanc ?  Comme la cigale de la fable, eh bien, qu’ils dansent alors  ! Peut t- on   sérieusement soutenir  que ces assaillants du Capitole ont  fait pire que ce député activiste , qui , comme un primate était  monté sur le pupitre
 
 
 
 
de l’Assemblée Nationale,  avait arraché le micro et emporté les   urnes ,le jour du vote du  Président de l’Assemblée Nationale ? Devrait on rappeler  à ces gens  le  jour où sans autorisation de marche, ce même personnage  hors du commun dans la pitrerie avait  couru brusquement vers le Palais présidentiel, pour s’agripper aux grilles du Palais sans essuyer les coups de feu des gardes armés ? Pour moins que cela  quatre  assaillants du Capitole avaient été abattus par les forces de l’ordre. Que dire des menaces de mort du leader de Pastef proférées nommément en  toute impunité sur la personne  des magistrats et même le Chef de l’État, les vaillants chefs  comme le Général Moussa Fall , Seydy Bocar Yague  le Directeur de la Police Nationale, alors qu’au même moment, les policiers américains abattaient un citoyen américain qui lançait des menaces au Président Biden ? 


At-on tort de soutenir  que Sonko et ses compagnons ont surpassé l’Abbé Diamacoune en termes de crimes odieux et lâches ? Le leader du MFDC  , à sa décharge n’avait  jamais associé les jeunes , son ethnie dans ses actions  , ni transféré le théâtre des combats dans les villes. De même , les assaillants du Capitole, n’étaient ni encagoulés ni armés. Pourtant , en  vertu de  l’article 92 alinéa 2 du Code pénal , les représentants de la force  publique  appelés pour dissiper un attroupement ou pour assurer l’exécution de la loi , d’un jugement ou mandat de justice , pouvaient bien à Dakar , comme à Touba faire usage de la force , face aux violences ou voies de fait  exercées contre eux ou contre toute personne ou en cas de destructions ou de dégradations  causées aux biens dont la garde   leur est confiée. Nos dignes compatriotes  de la Diaspora devraient brandir pour contrer ces manifestants des affiches et des pancartes  rappelant aux  parisiens  que Dominique Strauss  Kahn, candidat aux élections présidentielles  françaises compromises pour des faits d’agression sexuelle  avait fait moins  grave , comparé au  leader de pastef , marié  et député au moment des faits en 2020 qui avait commis des actes de viols répétés, actes de sodomie sur une pauvre fille mineure, orpheline, sans défense   dans un salon de beauté, en réalité une maison de prostitution ,sous la menace d’armes  pendant la période du Covid en plein couvre-feu.


Qu’ils en fassent de même aux États-Unis où ces badauds déclarent attendre le Président Macky Sall,  que l’ancien Donald Président et actuel candidat aux prochaines élections présidentielles n’avait rien fait comparé aux actes commis par leur leader Sonko, auteur de ces actes avec ses partisans qu’ils appellent «  détenus  politiques Pastef , comme on le constate était  devenu une entreprise dépotoir d’officiers radiés pour actes de déloyauté et de trahison qui y sont aujourd’hui accueillis et bien traités.  On se demande  encore comment l’État a laissé vaquer librement à ses occupations un officier radié avec tout ce qu’il a fait dans le dossier Adji Sarr en falsifiant le Pv d’enquête et en informant le mis en cause. Aujourd’hui , en lieu et place d’une cellule de prison pour cet individu dangereux , ion lui avait offert à titre de récompense pour actes crapuleux de trahison des champs , une ferme pour y faire un élevage florissant acquis grâce aux  collectes de fonds d’un téléthon « némékou tour »   à son profit , et un poste de responsable de la sécurité à la mairie de la ville.


Si tous ces  actes et faits criminels commis par le leader de Pastef et ses partisans , au regard de la Loi du 25 juin 2021 modifiant le Code pénal,  ne sont pas des actes terroristes, qu’on nous dise alors ce qu’est le Terrorisme ! Aujourd’hui Pastef a été dissout pour ces faits cités conformément à la loi. Ce groupe qui se déclare « Anti  systême , avec comme idéologie les « 3 D »  à savoir la Déconsidération , la Déconstruction et la Destruction , en un mot  la négation de l’ordre  temporel ,républicain et spirituel  (notre Islam confrérique ) est désormais hors de  l’espace  institutionnel et politique. Dès lors que Pastef considéré comme groupement terroriste a été dissout .  L’ État ne devrait en aucun cas jeter le manche après cette première cognée qui a été payante malgré ces  manœuvres de fausses grèves de la faim de ces criminels , comme son faux empoisonnement de gaz toxique attribué aux forces de l’ordre lors d’une manifestation. Il devra surtout continuer à combattre sans relâche les pastéfiens  d’ici et de la Diaspora comme l’Algérie  l’avait fait au Fis, le Nigéria à Bokk Haram, la France au FLNC et au groupe Action
 
 
 
 
Directe, l’Italie les Brigades Rouges, l’Allemagne la Bande à Bader et  les États-Unis Desh et Alkayda.  Tout membre de ce groupe identifié devrait être radié des Corps de l’Administration, et déchu par conséquent de tout mandat électif. La conséquence normale est que l’entité et ses membres  pris individuellement ne pourront participer  sous quelque forme qu’elle soit à des élections. Tout parti , Coalition, tout autre groupement qui mettraient   sur leurs listes de candidats  des personnes identifiées comme membres de l’ex-Pastef ,aujourd’hui dissout  verraient leurs dossiers de candidature rejetés.

Maître Djibril War,
Coordonnateur du Mouvement National   Pour le Sursaut Citoyen et Républicain    
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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