Et, l’on reparle de ce qu’il est convenu d’appeler le dossier Madiambal Diagne ! Sauf revirement, la Cour d’appel de Versailles rendra sa décision, mardi, 25 novembre 2025.
L’establishment Sénégalais a demandé l’extradition de cet ex-greffier de souche, viré du parquet pour avoir frauduleusement ouvert des scellés.
Très proche de l’ex-président Macky Sall, mais également de l’ancien Pm (Amadou Ba), Madiambal Diagne, qui a soutenu à haute et intelligible voix, savoir à quoi s’en tenir, a préféré lâchement fausser compagnie à sa femme et ses enfants, via la Gambie. La suite est connue : aussitôt sorti de son trou, le « fugitif le plus célèbre du Sénégal », depuis la mi-octobre, cravaté avant de recouvrer la liberté au pays de Marianne, a été placé sous contrôle judiciaire. Une mesure de restriction au principe de liberté du prévenu pendant l’instruction, qui consiste à imposer à ce dernier diverses obligations.
En résumé, le manquement de certaines de ces obligations peut être sanctionné par la détention provisoire, qui a été finalement levée par la Cour d’Appel de Versailles.
Celui que l’on surnomme « Sa Pekess » a été interpellé mardi 21 octobre dans la matinée alors qu’il se rendait à son domicile du Pecq, dans le département des Yvelines (sud-ouest de Paris). Arrêté par la police venu exécuter le mandat d’arrêt international dont il faisait déjà l’objet, alors qu’il s’apprêtait à prendre un taxi, Madiambal Diagne a été présenté au parquet général de Versailles.
Le Big Manitou d’ « Avenirs Communications » a finalement été libéré et placé sous contrôle judiciaire, … en attendant le délibéré attendu dans les prochaines heures concernant la demande d’extradition adressée par la justice sénégalaise.
Il fait l’objet d’un mandat d’arrêt émis par la justice sénégalaise dans le cadre, entre autres, d’une affaire de rétrocommissions présumées estimées à presque 21 milliards de francs cfa.
La procédure qui le vise part d’un rapport de la Cellule nationale de traitements des informations financières (Centif) qui fait état de transactions suspectes entre les comptes d’une société civile immobilière (SCI) fondée par Madiambal Diagne et la société Ellipse Projects. Spécialisée dans la construction d’hôpitaux en Afrique, cette entreprise.
Le dossier a valu à l’épouse et aux deux fils du journaliste, en raison de leur statut d’associés de la société immobilière, une inculpation pour blanchiment de capitaux et association de malfaiteurs ainsi que d’un placement sous mandat de dépôt au Sénégal.
Solo Quotidien
L’establishment Sénégalais a demandé l’extradition de cet ex-greffier de souche, viré du parquet pour avoir frauduleusement ouvert des scellés.
Très proche de l’ex-président Macky Sall, mais également de l’ancien Pm (Amadou Ba), Madiambal Diagne, qui a soutenu à haute et intelligible voix, savoir à quoi s’en tenir, a préféré lâchement fausser compagnie à sa femme et ses enfants, via la Gambie. La suite est connue : aussitôt sorti de son trou, le « fugitif le plus célèbre du Sénégal », depuis la mi-octobre, cravaté avant de recouvrer la liberté au pays de Marianne, a été placé sous contrôle judiciaire. Une mesure de restriction au principe de liberté du prévenu pendant l’instruction, qui consiste à imposer à ce dernier diverses obligations.
En résumé, le manquement de certaines de ces obligations peut être sanctionné par la détention provisoire, qui a été finalement levée par la Cour d’Appel de Versailles.
Celui que l’on surnomme « Sa Pekess » a été interpellé mardi 21 octobre dans la matinée alors qu’il se rendait à son domicile du Pecq, dans le département des Yvelines (sud-ouest de Paris). Arrêté par la police venu exécuter le mandat d’arrêt international dont il faisait déjà l’objet, alors qu’il s’apprêtait à prendre un taxi, Madiambal Diagne a été présenté au parquet général de Versailles.
Le Big Manitou d’ « Avenirs Communications » a finalement été libéré et placé sous contrôle judiciaire, … en attendant le délibéré attendu dans les prochaines heures concernant la demande d’extradition adressée par la justice sénégalaise.
Il fait l’objet d’un mandat d’arrêt émis par la justice sénégalaise dans le cadre, entre autres, d’une affaire de rétrocommissions présumées estimées à presque 21 milliards de francs cfa.
La procédure qui le vise part d’un rapport de la Cellule nationale de traitements des informations financières (Centif) qui fait état de transactions suspectes entre les comptes d’une société civile immobilière (SCI) fondée par Madiambal Diagne et la société Ellipse Projects. Spécialisée dans la construction d’hôpitaux en Afrique, cette entreprise.
Le dossier a valu à l’épouse et aux deux fils du journaliste, en raison de leur statut d’associés de la société immobilière, une inculpation pour blanchiment de capitaux et association de malfaiteurs ainsi que d’un placement sous mandat de dépôt au Sénégal.
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