Elle était pourtant imminente, mais l’exploitation du Zircon se heurte aujourd’hui à un véritable obstacle : l’opposition du maquis du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc). Le chef de la branche armée du mouvement séparatiste de Casamance vient de se joindre au concert de désapprobation qui a suivi l’annonce de l’exploitation de cette matière première, découverte dans la commune de Kafountine.
Opposé à ce projet, Salif Sadio va plus loin en menaçant de représailles tous ceux qui cautionnent cette exploitation. Selon nos sources, plusieurs personnes connues pour leur adhésion au projet ont reçu un coup de fil du chef d’Atika (l’aile militaire du mouvement irrédentiste de Casamance). Il est reproché à ces dernières de comploter contre la Casamance. Une attitude qui les place sous la trajectoire des combattants du Mfdc. A en croire un de nos interlocuteurs, une véritable menace plane sur la tête de ces personnalités qui craignent sérieusement pour leur sécurité. Surtout que Salif Sadio semble déterminé à faire capoter toute tentative d’exploitation du Zircon de Niafran.
C’est d’ailleurs pourquoi le chef rebelle multiplie les initiatives. Des informations confirmées par des sources proches des intéressés font état d’une rencontre entre Salif Sadio et le maire d’une commune du département de Bignona. Ce dernier qui garde de bonnes et veilles relations avec le chef d’Atika aurait été convoqué pour discuter de ce dossier. Pour le moment, rien n’a filtré de cette audience entre Salif Sadio et cette personnalité qu’il considère comme son père. En attendant, l’exploitation du Zircon est en sursis. Encore que le commandant en chef des maquisards de Casamance n’écarte pas la possibilité de rompre l’accalmie à travers des actions violentes. Pour le moment, Il affirme sa volonté de donner la chance aux négociations en cours à Rome sous l’égide de la communauté Saint’Egidio.
Avec cette sortie, Salif Sadio grossit les rangs des opposants au projet. La découverte du Zircon dans cette localité proche de la frontière avec la Gambie divise l’opinion dans la commune de Kafountine. Le chef de guerre se range donc du côté de ceux-là qui veulent maintenir l’écosystème de la localité. Sauf que beaucoup de gens voient derrière cette prise de position la main vengeresse du Président Gambien, Professeur, Docteur, Aladji, Yaya, Abdou Aziz, James, Junkun, Babily Mansa Jammeh.
Walf.Net
Opposé à ce projet, Salif Sadio va plus loin en menaçant de représailles tous ceux qui cautionnent cette exploitation. Selon nos sources, plusieurs personnes connues pour leur adhésion au projet ont reçu un coup de fil du chef d’Atika (l’aile militaire du mouvement irrédentiste de Casamance). Il est reproché à ces dernières de comploter contre la Casamance. Une attitude qui les place sous la trajectoire des combattants du Mfdc. A en croire un de nos interlocuteurs, une véritable menace plane sur la tête de ces personnalités qui craignent sérieusement pour leur sécurité. Surtout que Salif Sadio semble déterminé à faire capoter toute tentative d’exploitation du Zircon de Niafran.
C’est d’ailleurs pourquoi le chef rebelle multiplie les initiatives. Des informations confirmées par des sources proches des intéressés font état d’une rencontre entre Salif Sadio et le maire d’une commune du département de Bignona. Ce dernier qui garde de bonnes et veilles relations avec le chef d’Atika aurait été convoqué pour discuter de ce dossier. Pour le moment, rien n’a filtré de cette audience entre Salif Sadio et cette personnalité qu’il considère comme son père. En attendant, l’exploitation du Zircon est en sursis. Encore que le commandant en chef des maquisards de Casamance n’écarte pas la possibilité de rompre l’accalmie à travers des actions violentes. Pour le moment, Il affirme sa volonté de donner la chance aux négociations en cours à Rome sous l’égide de la communauté Saint’Egidio.
Avec cette sortie, Salif Sadio grossit les rangs des opposants au projet. La découverte du Zircon dans cette localité proche de la frontière avec la Gambie divise l’opinion dans la commune de Kafountine. Le chef de guerre se range donc du côté de ceux-là qui veulent maintenir l’écosystème de la localité. Sauf que beaucoup de gens voient derrière cette prise de position la main vengeresse du Président Gambien, Professeur, Docteur, Aladji, Yaya, Abdou Aziz, James, Junkun, Babily Mansa Jammeh.
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