Lors du Conseil des ministres du 29 octobre 2025, le Premier ministre Ousmane Sonko a détaillé une communication dense, articulée autour de trois priorités : la mise en œuvre des accords signés par le Chef de l’État à l’étranger, la consolidation de la discipline budgétaire et l’émergence de champions économiques nationaux grâce à un partenariat stratégique entre l’État et le secteur privé.
Revenant sur les récentes visites d’État du Président Bassirou Diomaye Faye au Rwanda et au Kenya, Ousmane Sonko a salué la portée stratégique des accords signés lors de ces déplacements. Selon lui, ces missions confirment que le Sénégal occupe désormais « une place forte dans l’espace africain et international ».
Il a insisté sur le caractère concret de cette diplomatie bilatérale : « Les accords conclus doivent se traduire en projets concrets, porteurs d’impacts visibles pour les populations. » Le Premier ministre annonce d’ailleurs deux échéances diplomatiques majeures : la visite officielle de son homologue de Mauritanie du 16 au 18 novembre 2025 ; l’arrivée d’une délégation technique de Sierra Leone, le 20 novembre, pour finaliser des accords dans les domaines minier et énergétique.
Un Sénégal crédible sur la scène financière mondiale
Le Premier ministre a également informé le Conseil du succès de la participation du Sénégal aux Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale à Washington. Ces rencontres ont permis de valider un nouveau cadre de coopération financière, fondé sur la transparence et la soutenabilité budgétaire.
Ousmane Sonko précise : « La discipline budgétaire, la transparence et la responsabilité doivent demeurer au cœur de l’action collective du gouvernement. »
Cette crédibilité retrouvée renforce la souveraineté économique du pays, réduit la dépendance à la dette extérieure et rassure les partenaires internationaux quant à la gestion financière du nouveau régime. Le Premier ministre a réaffirmé la vision du Chef de l’État : faire du secteur privé sénégalais le premier moteur du développement économique.
« Le secteur privé national doit être le principal allié de l’État pour la création de richesses, d’emplois et de champions économiques. » Ousmane Sonko annonce le lancement du programme :
« SUNU CHAMPIONS » : un dispositif pour accompagner l’émergence d’entreprises leaders dans les secteurs prioritaires. Il rappelle que le secteur privé a été impliqué à toutes les étapes de l’élaboration de l’Agenda national de Transformation Sénégal 2050 et du Plan de Redressement économique et social (PRES).
Les réformes engagées visent à : simplifier l’accès à la commande publique, améliorer l’accès au foncier productif, encourager la préférence nationale, digitaliser l’administration pour réduire les lourdeurs bureaucratiques. M.Sonko insiste : « Il faut bâtir une alliance forte entre l’État et le secteur privé pour transformer l’économie au bénéfice des entreprises et des ménages. »
Climat social et stabilité économique
Le Premier ministre a par ailleurs rappelé le rôle déterminant du Pacte national de stabilité sociale et de convergence des politiques publiques, installé quelques jours plus tôt :
« Ce pacte constitue un instrument précieux pour préserver la paix sociale. »
M.Sonko demande à tous les ministres d’adopter « un nouvel état d’esprit dans l’administration : transparence, digitalisation et soutien aux investisseurs ».
Avec cette communication, Ousmane Sonko pose clairement les jalons d’une gouvernance rigoureuse sur le plan financier, pragmatique dans l’exécution des projets, offensive dans la diplomatie économique, patriotique dans la promotion du secteur privé national. Le mot d’ordre du Premier ministre est clair : « L’État doit créer les conditions, le secteur privé doit saisir les opportunités. »
Revenant sur les récentes visites d’État du Président Bassirou Diomaye Faye au Rwanda et au Kenya, Ousmane Sonko a salué la portée stratégique des accords signés lors de ces déplacements. Selon lui, ces missions confirment que le Sénégal occupe désormais « une place forte dans l’espace africain et international ».
Il a insisté sur le caractère concret de cette diplomatie bilatérale : « Les accords conclus doivent se traduire en projets concrets, porteurs d’impacts visibles pour les populations. » Le Premier ministre annonce d’ailleurs deux échéances diplomatiques majeures : la visite officielle de son homologue de Mauritanie du 16 au 18 novembre 2025 ; l’arrivée d’une délégation technique de Sierra Leone, le 20 novembre, pour finaliser des accords dans les domaines minier et énergétique.
Un Sénégal crédible sur la scène financière mondiale
Le Premier ministre a également informé le Conseil du succès de la participation du Sénégal aux Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale à Washington. Ces rencontres ont permis de valider un nouveau cadre de coopération financière, fondé sur la transparence et la soutenabilité budgétaire.
Ousmane Sonko précise : « La discipline budgétaire, la transparence et la responsabilité doivent demeurer au cœur de l’action collective du gouvernement. »
Cette crédibilité retrouvée renforce la souveraineté économique du pays, réduit la dépendance à la dette extérieure et rassure les partenaires internationaux quant à la gestion financière du nouveau régime. Le Premier ministre a réaffirmé la vision du Chef de l’État : faire du secteur privé sénégalais le premier moteur du développement économique.
« Le secteur privé national doit être le principal allié de l’État pour la création de richesses, d’emplois et de champions économiques. » Ousmane Sonko annonce le lancement du programme :
« SUNU CHAMPIONS » : un dispositif pour accompagner l’émergence d’entreprises leaders dans les secteurs prioritaires. Il rappelle que le secteur privé a été impliqué à toutes les étapes de l’élaboration de l’Agenda national de Transformation Sénégal 2050 et du Plan de Redressement économique et social (PRES).
Les réformes engagées visent à : simplifier l’accès à la commande publique, améliorer l’accès au foncier productif, encourager la préférence nationale, digitaliser l’administration pour réduire les lourdeurs bureaucratiques. M.Sonko insiste : « Il faut bâtir une alliance forte entre l’État et le secteur privé pour transformer l’économie au bénéfice des entreprises et des ménages. »
Climat social et stabilité économique
Le Premier ministre a par ailleurs rappelé le rôle déterminant du Pacte national de stabilité sociale et de convergence des politiques publiques, installé quelques jours plus tôt :
« Ce pacte constitue un instrument précieux pour préserver la paix sociale. »
M.Sonko demande à tous les ministres d’adopter « un nouvel état d’esprit dans l’administration : transparence, digitalisation et soutien aux investisseurs ».
Avec cette communication, Ousmane Sonko pose clairement les jalons d’une gouvernance rigoureuse sur le plan financier, pragmatique dans l’exécution des projets, offensive dans la diplomatie économique, patriotique dans la promotion du secteur privé national. Le mot d’ordre du Premier ministre est clair : « L’État doit créer les conditions, le secteur privé doit saisir les opportunités. »