Djily Seck, responsable de la COJER dans la commune de Biscuiterie, et Ibrahima Pouye, porte-parole de l’APR dans la commune de Grand Yoff, ont demandé la justice d’aller jusqu’au bout dans l’affaire du meurtre de Ndiaga Diouf où Barthélémy Dias a été cité comme le supposé acteur de l’irréparable.
Pour lutter contre les séries d’assassinats, une frange des jeunes de la Cojer milite pour le durcissement des peines. Selon Djily Seck, responsable de la COJER dans la commune de Biscuiterie, le procèsde l’affaire Ndiaga Diouf, qui aurait reçu une balle suite à leur descente à la marie de Sicap Mermoz, doit servir d’exemple. «Pour décourager les séries d’assassinats dans ce pays, il faut que la justice aille jusqu’au bout. Si le maire Barthélémy Dias est reconnu coupable des faits, que la perpétuité lui soit appliquée dans toute sa rigueur et sans pitié. Parce que ce procès doit servir d’exemple à tous les fauteurs de trouble et il n’est pas normal que d’honnêtes citoyens soit tués lâchement et que les coupables se baladent dans les rues. » Dans la réouverture de ce dossier, prévu le 1erdécembre 2016, d’aucuns y voient un règlement de comptes politiques. Pour Djily Seck, « il n’y a rien de politique car il y a eu mort d’homme et nous avons vu Barth se balader avec des pistolets. Nous n’avons pas dit que c’est lui qui a tué, mais nous voulons que justice soit faite et que les responsabilités soit situées. Et que demain, de tels actes ne se reproduisent plus », a-t-il conseillé.
Ibrahima Khalil DIEME
Pour lutter contre les séries d’assassinats, une frange des jeunes de la Cojer milite pour le durcissement des peines. Selon Djily Seck, responsable de la COJER dans la commune de Biscuiterie, le procèsde l’affaire Ndiaga Diouf, qui aurait reçu une balle suite à leur descente à la marie de Sicap Mermoz, doit servir d’exemple. «Pour décourager les séries d’assassinats dans ce pays, il faut que la justice aille jusqu’au bout. Si le maire Barthélémy Dias est reconnu coupable des faits, que la perpétuité lui soit appliquée dans toute sa rigueur et sans pitié. Parce que ce procès doit servir d’exemple à tous les fauteurs de trouble et il n’est pas normal que d’honnêtes citoyens soit tués lâchement et que les coupables se baladent dans les rues. » Dans la réouverture de ce dossier, prévu le 1erdécembre 2016, d’aucuns y voient un règlement de comptes politiques. Pour Djily Seck, « il n’y a rien de politique car il y a eu mort d’homme et nous avons vu Barth se balader avec des pistolets. Nous n’avons pas dit que c’est lui qui a tué, mais nous voulons que justice soit faite et que les responsabilités soit situées. Et que demain, de tels actes ne se reproduisent plus », a-t-il conseillé.
Ibrahima Khalil DIEME