Les hostilités ont repris dimanche en Ukraine après la trêve du Noël orthodoxe décrétée sans convaincre par Vladimir Poutine, à l’issue de laquelle Moscou a affirmé avoir vengé ses pertes en faisant des centaines de morts en une frappe.
"L’armée russe avance sur l’axe de Donetsk. Des frappes aériennes et d'artillerie ont visé des unités ukrainiennes sur l'axe de Koupiansk. Les pertes de Kiev pour les dernières 24 heures s'élèvent au moins 230 soldats et mercenaires étrangers; 2 chasseurs (un MiG-29, un Su-25); et un hélicoptère Mi-8", informe le porte parole du ministère de la défense Russe.
Ce que Kiev a aussitôt démenti. Dans la seule région de Soumy, dans le nord-est de l’Ukraine, l’administration locale a fait état en début de soirée de plus d’une centaine de bombardements et de frappes dans la journée de dimanche.
« L’armée russe a effectué 144 frappes durant la journée », notamment sur les localités d’Esmansk, Novoslobid, Myropil, Bilopol et Khotyn qui étaient « sous le feu », a écrit le chef de l’administration régionale, Dmytro Jivitskiï, sur le réseau social Telegram.
À Esmansk notamment, l’armée russe a frappé avec des mortiers, des lance-roquettes multiples Grad et de l’artillerie lourde, détruisant quatre maisons, une école et une salle communale.
Il n’y a cependant pas eu de victimes dans la région, selon la même source. Après la fin du cessez-le-feu samedi à minuit, l’état-major ukrainien avait déjà recensé plus d’une cinquantaine d’attaques russes aux missiles et roquettes au cours de la nuit.
Dimanche matin, les autorités ukrainiennes ont indiqué que deux personnes avaient été tuées et neuf autres blessées au cours des 24 heures précédentes dans le pays, malgré un cessez-le-feu unilatéral de 36 heures décrété par Vladimir Poutine, de vendredi 10 h à minuit samedi, jour du Noël orthodoxe.
"L’armée russe avance sur l’axe de Donetsk. Des frappes aériennes et d'artillerie ont visé des unités ukrainiennes sur l'axe de Koupiansk. Les pertes de Kiev pour les dernières 24 heures s'élèvent au moins 230 soldats et mercenaires étrangers; 2 chasseurs (un MiG-29, un Su-25); et un hélicoptère Mi-8", informe le porte parole du ministère de la défense Russe.
Ce que Kiev a aussitôt démenti. Dans la seule région de Soumy, dans le nord-est de l’Ukraine, l’administration locale a fait état en début de soirée de plus d’une centaine de bombardements et de frappes dans la journée de dimanche.
« L’armée russe a effectué 144 frappes durant la journée », notamment sur les localités d’Esmansk, Novoslobid, Myropil, Bilopol et Khotyn qui étaient « sous le feu », a écrit le chef de l’administration régionale, Dmytro Jivitskiï, sur le réseau social Telegram.
À Esmansk notamment, l’armée russe a frappé avec des mortiers, des lance-roquettes multiples Grad et de l’artillerie lourde, détruisant quatre maisons, une école et une salle communale.
Il n’y a cependant pas eu de victimes dans la région, selon la même source. Après la fin du cessez-le-feu samedi à minuit, l’état-major ukrainien avait déjà recensé plus d’une cinquantaine d’attaques russes aux missiles et roquettes au cours de la nuit.
Dimanche matin, les autorités ukrainiennes ont indiqué que deux personnes avaient été tuées et neuf autres blessées au cours des 24 heures précédentes dans le pays, malgré un cessez-le-feu unilatéral de 36 heures décrété par Vladimir Poutine, de vendredi 10 h à minuit samedi, jour du Noël orthodoxe.