La Division spéciale de lutte contre la cybercriminalité (DSC) a annoncé avoir mis au jour un réseau structuré qui utilisait un site pornographique et plusieurs groupes privés en ligne pour diffuser des contenus à caractère pornographique et promouvoir des activités de prostitution via internet. Cette opération résulte d’une surveillance continue du cyberespace et d’investigations numériques approfondies menées par les enquêteurs.
Selon la DSC, le dispositif reposait sur un site internet spécialisé consacré à la diffusion de vidéos explicites, ainsi que sur des groupes privés hébergés sur l’application Telegram. Ces espaces servaient de relais, de vitrines promotionnelles et de canaux de mise en relation entre les prestataires et une clientèle ciblée. L’ensemble du réseau était administré par un individu opérant sous pseudonyme et résidant à l’étranger.
L’exploitation des supports numériques saisis a permis de découvrir 2 148 contenus illicites, incluant des vidéos et des images pornographiques mettant en scène des personnes identifiées. Ces contenus étaient diffusés à grande échelle sur les plateformes contrôlées par l’administrateur.
Les investigations ont conduit à l’identification de trois personnes impliquées, qui ont été interpellées puis entendues dans le cadre de la procédure. Le mode opératoire mis en évidence révèle que certaines d’entre elles produisaient volontairement des vidéos pornographiques personnelles, transmises ensuite à l’administrateur chargé de leur diffusion et de l’organisation des prestations sexuelles tarifées.
Les rendez-vous étaient programmés directement via les canaux numériques du réseau, l’administrateur se rémunérant en prélevant 25 % du montant versé par chaque client. Les mis en cause ont indiqué que les tarifs pratiqués atteignaient 20 000 francs CFA pour une heure et 100 000 francs CFA pour une nuitée, la plupart des transactions étant réalisées via des services de paiement mobile.
À l’issue des premières investigations, les trois personnes interpellées ont été déférées devant le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar. La DSC poursuit ses investigations afin de remonter l’ensemble des ramifications de ce réseau actif sur plusieurs plateformes numériques.
Selon la DSC, le dispositif reposait sur un site internet spécialisé consacré à la diffusion de vidéos explicites, ainsi que sur des groupes privés hébergés sur l’application Telegram. Ces espaces servaient de relais, de vitrines promotionnelles et de canaux de mise en relation entre les prestataires et une clientèle ciblée. L’ensemble du réseau était administré par un individu opérant sous pseudonyme et résidant à l’étranger.
L’exploitation des supports numériques saisis a permis de découvrir 2 148 contenus illicites, incluant des vidéos et des images pornographiques mettant en scène des personnes identifiées. Ces contenus étaient diffusés à grande échelle sur les plateformes contrôlées par l’administrateur.
Les investigations ont conduit à l’identification de trois personnes impliquées, qui ont été interpellées puis entendues dans le cadre de la procédure. Le mode opératoire mis en évidence révèle que certaines d’entre elles produisaient volontairement des vidéos pornographiques personnelles, transmises ensuite à l’administrateur chargé de leur diffusion et de l’organisation des prestations sexuelles tarifées.
Les rendez-vous étaient programmés directement via les canaux numériques du réseau, l’administrateur se rémunérant en prélevant 25 % du montant versé par chaque client. Les mis en cause ont indiqué que les tarifs pratiqués atteignaient 20 000 francs CFA pour une heure et 100 000 francs CFA pour une nuitée, la plupart des transactions étant réalisées via des services de paiement mobile.
À l’issue des premières investigations, les trois personnes interpellées ont été déférées devant le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar. La DSC poursuit ses investigations afin de remonter l’ensemble des ramifications de ce réseau actif sur plusieurs plateformes numériques.

