Le gouvernement de la Transition malienne a annoncé, vendredi, avoir mis en échec une tentative de déstabilisation des institutions, impliquant un petit groupe de militaires et de civils, avec le soutien présumé d’un État étranger. C’est le ministre malien de la Sécurité, le général Daoud Aly Mohammedine, béret vert vissé sur la tête, qui a lu un communiqué à la télévision nationale au nom des autorités.
Selon un communiqué lu à la télévision nationale par le général Daoud Aly Mohammedine, l’opération aurait été neutralisée le 1er août grâce à la vigilance des services de sécurité. Les autorités accusent ce réseau de vouloir “briser la dynamique de refondation engagée au Mali” et d’entraver les efforts en cours pour “consolider la souveraineté nationale et éradiquer les forces obscurantistes et terroristes” au sein de la Confédération des États du Sahel.
Parmi les personnes arrêtées figure un ressortissant français, Vezilier Yann, présenté comme travaillant pour les services de renseignement français. Les autorités affirment qu’il aurait mobilisé des responsables politiques, des membres de la société civile et des officiers supérieurs de l’armée, dont les généraux de brigade Abbass Dembelé et Naima Sagara.
Le gouvernement a dénoncé un “acte subversif” et annoncé l’ouverture d’enquêtes judiciaires pour identifier d’éventuels complices. “La situation est totalement sous contrôle”, a assuré le porte-parole, appelant la population à la vigilance et au calme.
Selon un communiqué lu à la télévision nationale par le général Daoud Aly Mohammedine, l’opération aurait été neutralisée le 1er août grâce à la vigilance des services de sécurité. Les autorités accusent ce réseau de vouloir “briser la dynamique de refondation engagée au Mali” et d’entraver les efforts en cours pour “consolider la souveraineté nationale et éradiquer les forces obscurantistes et terroristes” au sein de la Confédération des États du Sahel.
Parmi les personnes arrêtées figure un ressortissant français, Vezilier Yann, présenté comme travaillant pour les services de renseignement français. Les autorités affirment qu’il aurait mobilisé des responsables politiques, des membres de la société civile et des officiers supérieurs de l’armée, dont les généraux de brigade Abbass Dembelé et Naima Sagara.
Le gouvernement a dénoncé un “acte subversif” et annoncé l’ouverture d’enquêtes judiciaires pour identifier d’éventuels complices. “La situation est totalement sous contrôle”, a assuré le porte-parole, appelant la population à la vigilance et au calme.