Ce mercredi Barthélémy DIAS, candidat déclaré à la mairie de Dakar pour le compte de la coalition Yewwi Askan Wi doit aller répondre à la convocation du tribunal de Dakar. Une convocation jugée suspecte et qui a poussé les militants des partis d’opposition, d’accompagner le fils de Jean Paul Dias au tribunal pour lui apporter leur soutien. Le mouvement citoyen "Y'en marre annonce sa participation. Un grand renfort pour la coalition "Yewwi Askan Wi"
"Y en a marre suit le dossier du jugement en appel de Monsieur Dias. L’Etat du Sénégal devra assurer la sécurité de ces citoyens et de leurs leaders en évitant toute attaque provenant de nervis et de zèle des forces de l’ordre", met en garde le mouvement qui, rappelle que les évènements du mois de mars dernier ont été exacerbés "par la volonté des autorités d’empêcher à un leader de l’opposition d’aller répondre librement à la justice selon l’itinéraire choisi par lui-même. Y en a marre met en garde les autorités d’une éventuelle répétition de ce type de scénario dont les conséquences ont failli sombrer le Sénégal dans le chaos."
Aussi, sur cette phase en cours, de dépôt des candidatures et des listes en direction des élections locales prévues le 23 janvier 2022, Y en a marre condamne fermement les violences et l’abus de pouvoir exercés sur un élu du peuple à Kédougougou, notamment M. Moustapha GUIRASSY. "De telles pratiques ne participent pas à garantir un climat apaisé en direction des élections.
Enfin, Y en a marre rappelle à l’État du Sénégal son devoir d’organiser des élections libres, transparentes, équitables et dans le respect des droits des citoyens à pouvoir choisir librement entre toutes les parties prenantes", regrette le mouvement dirigé par Aliou Sané.
"Y en a marre suit le dossier du jugement en appel de Monsieur Dias. L’Etat du Sénégal devra assurer la sécurité de ces citoyens et de leurs leaders en évitant toute attaque provenant de nervis et de zèle des forces de l’ordre", met en garde le mouvement qui, rappelle que les évènements du mois de mars dernier ont été exacerbés "par la volonté des autorités d’empêcher à un leader de l’opposition d’aller répondre librement à la justice selon l’itinéraire choisi par lui-même. Y en a marre met en garde les autorités d’une éventuelle répétition de ce type de scénario dont les conséquences ont failli sombrer le Sénégal dans le chaos."
Aussi, sur cette phase en cours, de dépôt des candidatures et des listes en direction des élections locales prévues le 23 janvier 2022, Y en a marre condamne fermement les violences et l’abus de pouvoir exercés sur un élu du peuple à Kédougougou, notamment M. Moustapha GUIRASSY. "De telles pratiques ne participent pas à garantir un climat apaisé en direction des élections.
Enfin, Y en a marre rappelle à l’État du Sénégal son devoir d’organiser des élections libres, transparentes, équitables et dans le respect des droits des citoyens à pouvoir choisir librement entre toutes les parties prenantes", regrette le mouvement dirigé par Aliou Sané.