La Maison Blanche a officialisé, mardi 13 mai, un contrat d’armement de 142 milliards de dollars avec l’Arabie saoudite, à l’occasion d’une visite officielle de l’ancien président américain Donald Trump à Riyad. Dans un communiqué diffusé à cette occasion, l’administration américaine a qualifié cette transaction de « plus important contrat de ventes d’armes de l’histoire ».
Cet accord s’inscrit dans un ensemble plus vaste de promesses d’investissement estimées à 600 milliards de dollars, selon les chiffres avancés par l’exécutif américain. Il prévoit la fourniture de « matériels militaires de pointe auprès d’une douzaine d’entreprises de défense américaines », précise le communiqué.
Les équipements concernés incluent notamment des systèmes de défense aérienne, des missiles de nouvelle génération, des dispositifs de sécurité maritime, ainsi que des systèmes de communication avancés. L’administration américaine insiste sur le fait que ces livraisons « renforceront la capacité de l’Arabie saoudite à faire face aux menaces régionales et à contribuer à la sécurité collective ».
Ce partenariat stratégique, au-delà de ses implications économiques considérables, traduit également le renforcement des liens militaires et industriels entre Washington et Riyad, dans un contexte géopolitique marqué par de nombreuses tensions au Moyen-Orient.
Critiqué par certaines organisations de défense des droits humains pour le rôle joué par l’Arabie saoudite dans plusieurs conflits, notamment au Yémen, ce contrat suscite déjà de vives réactions dans les milieux diplomatiques et humanitaires, alors que les États-Unis sont régulièrement appelés à conditionner leurs ventes d’armes au respect du droit international humanitaire.
Pour l’heure, la Maison Blanche insiste sur les retombées économiques majeures pour l’industrie de défense américaine et sur l’« impact positif de ces investissements sur l’emploi et la sécurité nationale des deux pays ».
Cet accord s’inscrit dans un ensemble plus vaste de promesses d’investissement estimées à 600 milliards de dollars, selon les chiffres avancés par l’exécutif américain. Il prévoit la fourniture de « matériels militaires de pointe auprès d’une douzaine d’entreprises de défense américaines », précise le communiqué.
Les équipements concernés incluent notamment des systèmes de défense aérienne, des missiles de nouvelle génération, des dispositifs de sécurité maritime, ainsi que des systèmes de communication avancés. L’administration américaine insiste sur le fait que ces livraisons « renforceront la capacité de l’Arabie saoudite à faire face aux menaces régionales et à contribuer à la sécurité collective ».
Ce partenariat stratégique, au-delà de ses implications économiques considérables, traduit également le renforcement des liens militaires et industriels entre Washington et Riyad, dans un contexte géopolitique marqué par de nombreuses tensions au Moyen-Orient.
Critiqué par certaines organisations de défense des droits humains pour le rôle joué par l’Arabie saoudite dans plusieurs conflits, notamment au Yémen, ce contrat suscite déjà de vives réactions dans les milieux diplomatiques et humanitaires, alors que les États-Unis sont régulièrement appelés à conditionner leurs ventes d’armes au respect du droit international humanitaire.
Pour l’heure, la Maison Blanche insiste sur les retombées économiques majeures pour l’industrie de défense américaine et sur l’« impact positif de ces investissements sur l’emploi et la sécurité nationale des deux pays ».