Rejetant un possible plan israélien d’étendre ses opérations militaires à toute la bande de Gaza, un haut responsable de l’ONU a réaffirmé mardi que Gaza fait partie intégrante d’un futur État palestinien.
Miroslav Jenca, secrétaire général adjoint de l’ONU pour l’Europe, l’Asie centrale et les Amériques, s’est exprimé devant le Conseil de sécurité, soulignant que « le droit international est clair : Gaza est et doit rester une partie intégrante du futur État palestinien ». Il a mis en garde contre les « conséquences catastrophiques » qu’un contrôle total israélien de Gaza pourrait avoir sur des millions de Palestiniens et sur la vie des otages encore détenus dans l’enclave.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu envisagerait, selon la chaîne Channel 12, de reprendre le contrôle total de Gaza, inversant ainsi le retrait israélien de 2005. Cette décision doit être discutée lors d’une réunion clé du cabinet prévue jeudi.
Miroslav Jenca a rappelé qu’« il n’y a pas de solution militaire » au conflit israélo-palestinien et a réaffirmé le soutien de l’ONU à une solution à deux États, viable et souveraine, basée sur les frontières d’avant 1967, avec Jérusalem comme capitale commune.
« La faim est omniprésente à Gaza », a-t-il dénoncé, décrivant la situation comme « horrible » et « insupportable », avec des milliers de Palestiniens tués et blessés, notamment lors de tentatives d’accès à l’aide humanitaire.
Le président égyptien Abdel Fattah El-Sisi a pour sa part qualifié la situation de « génocide systématique » contre les Palestiniens de Gaza, dénonçant une « guerre de famine » visant à « éradiquer la cause palestinienne ».
L’Algérie a également appelé à un accès humanitaire sans entrave, rappelant qu’il s’agit d’une obligation légale selon les Conventions de Genève.
En Israël, d’anciens responsables militaires et de renseignement, ainsi que l’ex-Premier ministre Ehud Barak, appellent à mettre fin à l’offensive, dénonçant une prolongation du conflit par les membres d’extrême droite du gouvernement.
L’offensive israélienne, qui dure depuis près de deux ans, a provoqué une crise humanitaire majeure, des déplacements massifs et des accusations de crimes de guerre devant la justice internationale.
Miroslav Jenca, secrétaire général adjoint de l’ONU pour l’Europe, l’Asie centrale et les Amériques, s’est exprimé devant le Conseil de sécurité, soulignant que « le droit international est clair : Gaza est et doit rester une partie intégrante du futur État palestinien ». Il a mis en garde contre les « conséquences catastrophiques » qu’un contrôle total israélien de Gaza pourrait avoir sur des millions de Palestiniens et sur la vie des otages encore détenus dans l’enclave.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu envisagerait, selon la chaîne Channel 12, de reprendre le contrôle total de Gaza, inversant ainsi le retrait israélien de 2005. Cette décision doit être discutée lors d’une réunion clé du cabinet prévue jeudi.
Miroslav Jenca a rappelé qu’« il n’y a pas de solution militaire » au conflit israélo-palestinien et a réaffirmé le soutien de l’ONU à une solution à deux États, viable et souveraine, basée sur les frontières d’avant 1967, avec Jérusalem comme capitale commune.
« La faim est omniprésente à Gaza », a-t-il dénoncé, décrivant la situation comme « horrible » et « insupportable », avec des milliers de Palestiniens tués et blessés, notamment lors de tentatives d’accès à l’aide humanitaire.
Le président égyptien Abdel Fattah El-Sisi a pour sa part qualifié la situation de « génocide systématique » contre les Palestiniens de Gaza, dénonçant une « guerre de famine » visant à « éradiquer la cause palestinienne ».
L’Algérie a également appelé à un accès humanitaire sans entrave, rappelant qu’il s’agit d’une obligation légale selon les Conventions de Genève.
En Israël, d’anciens responsables militaires et de renseignement, ainsi que l’ex-Premier ministre Ehud Barak, appellent à mettre fin à l’offensive, dénonçant une prolongation du conflit par les membres d’extrême droite du gouvernement.
L’offensive israélienne, qui dure depuis près de deux ans, a provoqué une crise humanitaire majeure, des déplacements massifs et des accusations de crimes de guerre devant la justice internationale.

