L’armée israélienne a affirmé ce vendredi avoir détecté de nouveaux tirs de missiles en provenance d’Iran, au huitième jour d’un conflit ouvert entre les deux pays. Des sirènes d’alerte ont retenti dans plusieurs régions d’Israël, avant que l’alerte ne soit levée quelques instants plus tard.
Sur le réseau social X, le président iranien Massoud Pezeshkian a réaffirmé sa position, estimant que « la seule manière de mettre fin à la guerre imposée » est « un arrêt inconditionnel de l'agression de l'ennemi » et « une garantie ferme de mettre un terme définitif aux aventures terroristes sionistes ».
De son côté, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a fermé la porte à toute négociation avec Washington. Dans une interview à la télévision d'État, il a déclaré : « Les Américains ont envoyé à plusieurs reprises des messages appelant sérieusement à des négociations. Mais nous avons clairement indiqué que tant que l'agression ne cessera pas, il n'y aura pas de place pour la diplomatie et le dialogue. »
Le ministre doit néanmoins se rendre à Genève, où Paris, Berlin et Londres entendent présenter ce vendredi « une offre de négociation complète » à l’Iran, incluant le dossier nucléaire, les activités balistiques et le soutien aux groupes armés dans la région.
Le président français Emmanuel Macron a appelé à « prioriser le retour à une négociation de fond », exhortant par ailleurs Israël à cesser ses frappes sur « les infrastructures civiles » iraniennes.
Sur le réseau social X, le président iranien Massoud Pezeshkian a réaffirmé sa position, estimant que « la seule manière de mettre fin à la guerre imposée » est « un arrêt inconditionnel de l'agression de l'ennemi » et « une garantie ferme de mettre un terme définitif aux aventures terroristes sionistes ».
De son côté, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a fermé la porte à toute négociation avec Washington. Dans une interview à la télévision d'État, il a déclaré : « Les Américains ont envoyé à plusieurs reprises des messages appelant sérieusement à des négociations. Mais nous avons clairement indiqué que tant que l'agression ne cessera pas, il n'y aura pas de place pour la diplomatie et le dialogue. »
Le ministre doit néanmoins se rendre à Genève, où Paris, Berlin et Londres entendent présenter ce vendredi « une offre de négociation complète » à l’Iran, incluant le dossier nucléaire, les activités balistiques et le soutien aux groupes armés dans la région.
Le président français Emmanuel Macron a appelé à « prioriser le retour à une négociation de fond », exhortant par ailleurs Israël à cesser ses frappes sur « les infrastructures civiles » iraniennes.