Cheikhna Gassama en décortiquant le discours du président de la république du 31 décembre, se dit déçu des propos tenus par son « ami » Macky Sall. Pour lui l’actuel régime n’a pas mis des conditions de retour de paix avant de décréter une paix définitive.
« . Avant de parler de la paix, il faut créer des conditions de retour paix. Aujourd’hui en Casamance toutes les usines sont fermées. Nos jeunes frères sont obligés de devenir des conducteurs Jakarta, qui n’est pas un métier d’avenir comme la maçonnerie ou encore la mécanique. Ce n’est pas pour saboter mais c’est la triste réalité » a-t-il dénoncé. Il ajoute « il faut qu’on apprend à respecter les gens. Ce gouvernement est en train de leurrer l’opinion national et international sur la crise en Casamance. Pour créer une entreprise en Casamance, c’est tout à fait un chemin de croix. Je l’avais tenté à mainte reprise mais rien. Car les obstacles sont immenses. Et la plupart de ces difficultés viennent du gouvernement. Si on veut aider les gens c'est à travers la création des entreprises pourvoyeuses d'emplois.»
Pour ce responsable politique pour une paix définitive, il faut rompre avec certaines pratiques. « Macky Sall est tombé dans le piège de ces anciens, qui ont pris ce dossier comme un fonds de commerce. C’est le cas de ce soi-disant comité de facilitateurs. Voilà un comité qui ne fait pas son travail en objectivité. Car on ne peut pas assurer tes dépenses et vouloir être neutre. Et le faire le bilan de cette crise et le pourquoi cette guerre? Mais aujourd’hui on veut forcer les gens à aller une paix sans aucun projet fiable. On cherche à tromper ? » s’interroge Cheikhna Gassama.
« . Avant de parler de la paix, il faut créer des conditions de retour paix. Aujourd’hui en Casamance toutes les usines sont fermées. Nos jeunes frères sont obligés de devenir des conducteurs Jakarta, qui n’est pas un métier d’avenir comme la maçonnerie ou encore la mécanique. Ce n’est pas pour saboter mais c’est la triste réalité » a-t-il dénoncé. Il ajoute « il faut qu’on apprend à respecter les gens. Ce gouvernement est en train de leurrer l’opinion national et international sur la crise en Casamance. Pour créer une entreprise en Casamance, c’est tout à fait un chemin de croix. Je l’avais tenté à mainte reprise mais rien. Car les obstacles sont immenses. Et la plupart de ces difficultés viennent du gouvernement. Si on veut aider les gens c'est à travers la création des entreprises pourvoyeuses d'emplois.»
Pour ce responsable politique pour une paix définitive, il faut rompre avec certaines pratiques. « Macky Sall est tombé dans le piège de ces anciens, qui ont pris ce dossier comme un fonds de commerce. C’est le cas de ce soi-disant comité de facilitateurs. Voilà un comité qui ne fait pas son travail en objectivité. Car on ne peut pas assurer tes dépenses et vouloir être neutre. Et le faire le bilan de cette crise et le pourquoi cette guerre? Mais aujourd’hui on veut forcer les gens à aller une paix sans aucun projet fiable. On cherche à tromper ? » s’interroge Cheikhna Gassama.