Alors que le nombre d’agressions de colons israéliens contre les Palestiniens en Cisjordanie occupée a atteint son plus haut niveau jamais enregistré, les journalistes ne sont pas épargnés. Dans un communiqué publié lundi 10 novembre, l'Association de la presse étrangère dénonce les attaques répétées des colons contre les journalistes qui documentent la colonisation.
Des scènes se répètent. D'un côté, une journaliste palestinienne reste agenouillée au sol parmi les oliviers, sonnée et avec son casque de protection enfoncé sur plusieurs centimètres après un coup reçu sur la tête. De l'autre, un journaliste, encore vêtu de son gilet pare-balles, est pris charge dans un dispensaire, avec son bras en écharpe. Les violences des colons israéliens contre la presse vont crescendo, rapporte notre correspondant à Ramallah, Lucas Lazo.
Les deux images sont le résultat d'une attaque massive de colons israéliens dans le village de Beita, survenue samedi 9 novembre. Une cinquantaine d'individus, masqués, armés de pierres et de bâtons, s'en sont pris aux agriculteurs palestiniens et aux journalistes locaux et internationaux. Ces derniers, portant la mention « presse » pourtant bien visible sur leurs tenues, étaient venus documenter la récolte des olives la plus violente de ces dernières années en Cisjordanie occupée.
Ces agressions répétées contre les journalistes ont entraîné la publication, lundi 10 novembre, d'un communiqué de l'Association de la presse étrangère, qui représente les journalistes internationaux travaillant en Israël, en Cisjordanie occupée et dans la bande de Gaza. « Les journalistes, tant locaux qu'étrangers, sont clairement des cibles », déplore l'organisation.
Dans son communiqué, l'association appelle « les autorités israéliennes à mettre un terme à ces violences immédiatement » et à ouvrir des enquêtes à l'encontre des auteurs de ces agressions. Selon l'Association de la presse étrangère, au lieu de protéger les journalistes, « les forces israéliennes harcèlent et intimident régulièrement les journalistes, allant parfois jusqu'à les placer en détention et à les menacer d'expulsion ».
Les agressions des colons israéliens contre les Palestiniens, en marge de la récolte des olives, ont atteint leur plus haut niveau en octobre 2025 : 264 attaques recensées, soit une moyenne de huit par jour. C'est le mois le plus violent depuis que l'ONU a commencé à recenser ces attaques, en 2006.
Des scènes se répètent. D'un côté, une journaliste palestinienne reste agenouillée au sol parmi les oliviers, sonnée et avec son casque de protection enfoncé sur plusieurs centimètres après un coup reçu sur la tête. De l'autre, un journaliste, encore vêtu de son gilet pare-balles, est pris charge dans un dispensaire, avec son bras en écharpe. Les violences des colons israéliens contre la presse vont crescendo, rapporte notre correspondant à Ramallah, Lucas Lazo.
Les deux images sont le résultat d'une attaque massive de colons israéliens dans le village de Beita, survenue samedi 9 novembre. Une cinquantaine d'individus, masqués, armés de pierres et de bâtons, s'en sont pris aux agriculteurs palestiniens et aux journalistes locaux et internationaux. Ces derniers, portant la mention « presse » pourtant bien visible sur leurs tenues, étaient venus documenter la récolte des olives la plus violente de ces dernières années en Cisjordanie occupée.
Ces agressions répétées contre les journalistes ont entraîné la publication, lundi 10 novembre, d'un communiqué de l'Association de la presse étrangère, qui représente les journalistes internationaux travaillant en Israël, en Cisjordanie occupée et dans la bande de Gaza. « Les journalistes, tant locaux qu'étrangers, sont clairement des cibles », déplore l'organisation.
Dans son communiqué, l'association appelle « les autorités israéliennes à mettre un terme à ces violences immédiatement » et à ouvrir des enquêtes à l'encontre des auteurs de ces agressions. Selon l'Association de la presse étrangère, au lieu de protéger les journalistes, « les forces israéliennes harcèlent et intimident régulièrement les journalistes, allant parfois jusqu'à les placer en détention et à les menacer d'expulsion ».
Les agressions des colons israéliens contre les Palestiniens, en marge de la récolte des olives, ont atteint leur plus haut niveau en octobre 2025 : 264 attaques recensées, soit une moyenne de huit par jour. C'est le mois le plus violent depuis que l'ONU a commencé à recenser ces attaques, en 2006.