Le président américain Donald Trump a affirmé ce mardi qu’Israël avait accepté les termes d’un cessez-le-feu de soixante jours dans la bande de Gaza, exhortant le Hamas à accepter ce qu’il a qualifié d’« ultime proposition » pour mettre fin aux combats. Cette déclaration intervient à quelques jours de la visite prévue du Premier ministre Benyamin Netanyahu à Washington.
Pour l’heure, aucune réaction officielle n’a été émise par le gouvernement israélien, mais la déclaration de Donald Trump a immédiatement fait réagir la classe politique israélienne, révélant des fractures profondes au sein de la coalition gouvernementale.
Le ministre des Affaires étrangères, Gideon Saar, a affirmé que « la majorité de la coalition, comme une majorité d’Israéliens, soutiennent un plan qui permettrait le retour des otages », estimant qu’il s’agit d’une occasion à ne pas manquer.
Mais à l’extrême droite du gouvernement, Itamar Ben Gvir (Sécurité nationale) et Bezalel Smotrich (Finances) mènent la fronde contre ce projet de cessez-le-feu. Ils tentent de bloquer l’accord, qui prévoit un arrêt des combats pendant 60 jours et la libération d’une partie des otages en deux étapes.
Face à ces tensions internes, l’opposition a tendu la main au Premier ministre Netanyahu. Sur le réseau social X, Yaïr Lapid, chef de l’opposition, a déclaré qu’il était prêt à apporter un soutien parlementaire à un accord de libération des otages, même en cas de défection des ministres de droite radicale. Yair Golan, chef du parti de gauche Les Démocrates, a quant à lui jugé que Smotrich et Ben Gvir « ne sont pas dignes de siéger au gouvernement ».
Dans un climat de vive tension, les familles d’otages encore détenus à Gaza ont accusé les deux ministres d’extrême droite d’« avoir oublié les valeurs fondamentales du judaïsme ».
Depuis l’attaque du 7 octobre 2023, 251 personnes avaient été enlevées en Israël. À ce jour, 49 otages sont toujours détenus à Gaza, dont 27 officiellement déclarés morts par l’armée israélienne. Le Hamas retient également la dépouille d’un soldat israélien tué lors de la guerre de 2014.
Pour l’heure, aucune réaction officielle n’a été émise par le gouvernement israélien, mais la déclaration de Donald Trump a immédiatement fait réagir la classe politique israélienne, révélant des fractures profondes au sein de la coalition gouvernementale.
Le ministre des Affaires étrangères, Gideon Saar, a affirmé que « la majorité de la coalition, comme une majorité d’Israéliens, soutiennent un plan qui permettrait le retour des otages », estimant qu’il s’agit d’une occasion à ne pas manquer.
Mais à l’extrême droite du gouvernement, Itamar Ben Gvir (Sécurité nationale) et Bezalel Smotrich (Finances) mènent la fronde contre ce projet de cessez-le-feu. Ils tentent de bloquer l’accord, qui prévoit un arrêt des combats pendant 60 jours et la libération d’une partie des otages en deux étapes.
Face à ces tensions internes, l’opposition a tendu la main au Premier ministre Netanyahu. Sur le réseau social X, Yaïr Lapid, chef de l’opposition, a déclaré qu’il était prêt à apporter un soutien parlementaire à un accord de libération des otages, même en cas de défection des ministres de droite radicale. Yair Golan, chef du parti de gauche Les Démocrates, a quant à lui jugé que Smotrich et Ben Gvir « ne sont pas dignes de siéger au gouvernement ».
Dans un climat de vive tension, les familles d’otages encore détenus à Gaza ont accusé les deux ministres d’extrême droite d’« avoir oublié les valeurs fondamentales du judaïsme ».
Depuis l’attaque du 7 octobre 2023, 251 personnes avaient été enlevées en Israël. À ce jour, 49 otages sont toujours détenus à Gaza, dont 27 officiellement déclarés morts par l’armée israélienne. Le Hamas retient également la dépouille d’un soldat israélien tué lors de la guerre de 2014.