Le Chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, a reçu à Ziguinchor les acteurs engagés dans le processus de paix en Casamance. La rencontre a réuni notamment le Groupe de réflexion et d’action pour la paix, la Plateforme des femmes pour la paix, ainsi que le Collectif des organisations de la société civile.
À cette occasion, les différentes structures ont partagé avec le Président de la République leurs analyses, leurs expériences de terrain et les actions menées en faveur de l’instauration d’une paix définitive dans le sud du pays. Elles ont également salué les progrès enregistrés dans la mise en œuvre du Plan Diomaye pour la Casamance, perçu comme un cadre structurant pour la stabilisation et le développement durable de la région.
Avec humilité et détermination, le Chef de l’État a réaffirmé sa ferme volonté de consolider une paix durable en Casamance, fondée sur l’écoute attentive, le dialogue inclusif et le respect des dynamiques locales. Conscient que ce chantier exige une démarche concertée et continue, il a invité l’ensemble des acteurs à fédérer leurs initiatives, à mutualiser leurs efforts et à renforcer la coordination, afin d’en accroître l’efficacité et l’impact.
Lors de l’étape du village de Daresalam (Ziguinchor), dimanche dernier, le Président de la République a tenu un message fort en faveur de la réconciliation :
« Les témoignages que j’ai écoutés tout à l’heure me renforcent dans une conviction forte : la paix exige des sacrifices et des efforts constants. Il faut toujours œuvrer à la réconciliation des cœurs et des esprits pour éviter que des divergences ne débouchent sur des conflits ouverts, qui laissent des plaies difficiles à refermer, tant sur le plan de la cohésion sociale que sur celui des dégâts physiques et des traumatismes déjà enregistrés », a-t-il déclaré.
Se démarquant clairement des clivages et des calculs politiciens, il a ajouté : « Pour ma part, je continuerai à œuvrer inlassablement pour un retour définitif de la paix en Casamance. La Casamance a énormément souffert, et avec elle tout le Sénégal. Il est temps que cette formidable région retrouve son dynamisme économique, culturel et cette joie de vivre qui fascine tous ceux qui découvrent sa beauté et son immense potentiel. C’est une main tendue à mes frères et cousins, à mes frères et sœurs du MFDC. L’État s’est engagé à faire tout ce qu’il faut pour accompagner le dépôt définitif des armes partout en Casamance et pour une réconciliation sincère, franche et durable. »
Le conflit casamançais a éclaté en 1982, à la suite d’une simple manifestation visant à dénoncer la boulimie foncière. Sa transformation en conflit armé est largement attribuée à la mauvaise gestion de cette mobilisation par les autorités de l’époque, un enchaînement d’événements qui a durablement affecté la stabilité, la cohésion sociale et le développement de la région.
À cette occasion, les différentes structures ont partagé avec le Président de la République leurs analyses, leurs expériences de terrain et les actions menées en faveur de l’instauration d’une paix définitive dans le sud du pays. Elles ont également salué les progrès enregistrés dans la mise en œuvre du Plan Diomaye pour la Casamance, perçu comme un cadre structurant pour la stabilisation et le développement durable de la région.
Avec humilité et détermination, le Chef de l’État a réaffirmé sa ferme volonté de consolider une paix durable en Casamance, fondée sur l’écoute attentive, le dialogue inclusif et le respect des dynamiques locales. Conscient que ce chantier exige une démarche concertée et continue, il a invité l’ensemble des acteurs à fédérer leurs initiatives, à mutualiser leurs efforts et à renforcer la coordination, afin d’en accroître l’efficacité et l’impact.
Lors de l’étape du village de Daresalam (Ziguinchor), dimanche dernier, le Président de la République a tenu un message fort en faveur de la réconciliation :
« Les témoignages que j’ai écoutés tout à l’heure me renforcent dans une conviction forte : la paix exige des sacrifices et des efforts constants. Il faut toujours œuvrer à la réconciliation des cœurs et des esprits pour éviter que des divergences ne débouchent sur des conflits ouverts, qui laissent des plaies difficiles à refermer, tant sur le plan de la cohésion sociale que sur celui des dégâts physiques et des traumatismes déjà enregistrés », a-t-il déclaré.
Se démarquant clairement des clivages et des calculs politiciens, il a ajouté : « Pour ma part, je continuerai à œuvrer inlassablement pour un retour définitif de la paix en Casamance. La Casamance a énormément souffert, et avec elle tout le Sénégal. Il est temps que cette formidable région retrouve son dynamisme économique, culturel et cette joie de vivre qui fascine tous ceux qui découvrent sa beauté et son immense potentiel. C’est une main tendue à mes frères et cousins, à mes frères et sœurs du MFDC. L’État s’est engagé à faire tout ce qu’il faut pour accompagner le dépôt définitif des armes partout en Casamance et pour une réconciliation sincère, franche et durable. »
Le conflit casamançais a éclaté en 1982, à la suite d’une simple manifestation visant à dénoncer la boulimie foncière. Sa transformation en conflit armé est largement attribuée à la mauvaise gestion de cette mobilisation par les autorités de l’époque, un enchaînement d’événements qui a durablement affecté la stabilité, la cohésion sociale et le développement de la région.