À la CAN au Maroc, le projecteur ne s’arrête plus au rectangle vert. Depuis le coup d’envoi de la compétition, un autre regard capte l’attention : celui d’Amina Fall. La photographe sénégalaise s’est imposée comme l’une des révélations médiatiques du tournoi, au point que certaines de ses publications sur les réseaux sociaux génèrent davantage d’engagement que des contenus purement sportifs.
Dans un univers encore largement dominé par les hommes, Amina Fall a forcé le respect par la force de son travail. Son approche visuelle, à la fois rigoureuse et profondément humaine, a donné naissance à des images devenues emblématiques. La photographie virale d’Édouard Mendy protégeant une jeune fille sous une serviette lors du match Sénégal–Botswana a marqué les esprits, résumant à elle seule l’émotion, la pudeur et la noblesse du sport.
Mais la CAN a aussi propulsé Amina Fall au-devant de la scène médiatique internationale. Ses clichés, partagés massivement, ont franchi les frontières sénégalaises et africaines, installant son nom dans les conversations bien au-delà du cercle du football. Elle ne documente pas seulement la compétition : elle en façonne la mémoire visuelle.
Aujourd’hui, Amina Fall incarne une nouvelle génération de créatrices africaines qui imposent leur signature sans compromis. À travers son objectif comme à travers sa présence publique, elle attire l’attention non par provocation, mais par cohérence, élégance et maîtrise de son art. À la CAN 2025, le football a trouvé une narratrice visuelle. Et son nom s’est imposé naturellement.
Dans un univers encore largement dominé par les hommes, Amina Fall a forcé le respect par la force de son travail. Son approche visuelle, à la fois rigoureuse et profondément humaine, a donné naissance à des images devenues emblématiques. La photographie virale d’Édouard Mendy protégeant une jeune fille sous une serviette lors du match Sénégal–Botswana a marqué les esprits, résumant à elle seule l’émotion, la pudeur et la noblesse du sport.
Mais la CAN a aussi propulsé Amina Fall au-devant de la scène médiatique internationale. Ses clichés, partagés massivement, ont franchi les frontières sénégalaises et africaines, installant son nom dans les conversations bien au-delà du cercle du football. Elle ne documente pas seulement la compétition : elle en façonne la mémoire visuelle.
Aujourd’hui, Amina Fall incarne une nouvelle génération de créatrices africaines qui imposent leur signature sans compromis. À travers son objectif comme à travers sa présence publique, elle attire l’attention non par provocation, mais par cohérence, élégance et maîtrise de son art. À la CAN 2025, le football a trouvé une narratrice visuelle. Et son nom s’est imposé naturellement.






