L'audience de mise en accusation des 107 personnes, dont deux généraux, poursuivis pour le putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, s'est ouverte mercredi devant le tribunal militaire de Ouagadougou, a-t-on annoncé de source judiciaire.
L'ex-chef de la diplomatie de Blaise Compaoré, le général Djibrill Bassolé, et le général Gilbert Diendéré, ancien bras droit du président déchu et qui avait pris la tête du putsch, sont les deux accusés les plus médiatiques de ce procès.
Les accusés comparaissent pour "atteinte à la sureté de l'Etat", "dégradations de biens" et "meurtres" dans le cadre du putsch.
"Aujourd'hui 25 octobre s'est ouvert l'audience de la chambre de contrôle de l'instruction à la suite de l'ordonnance qui a été rendue le 21 juillet par le magistrat instructeur. Cette audience vise la confirmation des charges", a déclaré à la sortie de l'audience à huis clos Me Paul Kéré, avocat de plusieurs inculpés.
Cette audience avait été renvoyée à deux reprises le 14 septembre et le 6 octobre.
L'ex-chef de la diplomatie de Blaise Compaoré, le général Djibrill Bassolé, et le général Gilbert Diendéré, ancien bras droit du président déchu et qui avait pris la tête du putsch, sont les deux accusés les plus médiatiques de ce procès.
Les accusés comparaissent pour "atteinte à la sureté de l'Etat", "dégradations de biens" et "meurtres" dans le cadre du putsch.
"Aujourd'hui 25 octobre s'est ouvert l'audience de la chambre de contrôle de l'instruction à la suite de l'ordonnance qui a été rendue le 21 juillet par le magistrat instructeur. Cette audience vise la confirmation des charges", a déclaré à la sortie de l'audience à huis clos Me Paul Kéré, avocat de plusieurs inculpés.
Cette audience avait été renvoyée à deux reprises le 14 septembre et le 6 octobre.