Le mouvement Gueum Sa Bopp « Les Jambaars » a rendu public, ce mercredi 3 décembre 2025, un communiqué dans lequel il exprime son « soutien total » aux étudiants confrontés aux retards répétés de paiement des bourses. Le mouvement dénonce un gouvernement « absent », un régime « attaché à ses privilèges » et un Premier ministre « qui théorise au lieu d’agir », alors que les universités connaissent une nouvelle vague de tension.
Selon Gueum Sa Bopp, la situation actuelle « expose l’avenir de la Nation aux gaz lacrymogènes, aux matraques et à l’humiliation », traduisant l’échec de l’État à assumer l’une de ses responsabilités les plus essentielles : garantir aux étudiants des conditions minimales d’études et de vie décente.
Le communiqué affirme que pendant que les campus s’enlisent dans la crise, « les privilèges, eux, ne connaissent aucun retard ». Le mouvement s’indigne du contraste entre la rigueur exigée des étudiants et le traitement réservé aux dirigeants : « Dans un pays où l’on paie sans délai primes, salaires des autorités et où l’on se déplace en jets privés, les étudiants ne doivent pas déverser leur colère pour percevoir une modique bourse. »
Gueum Sa Bopp qualifie la situation de « trahison », accusant les responsables politiques de « s’enrichir » pendant que les étudiants « luttent pour exister ». Le mouvement insiste également sur la nécessité absolue de respecter les franchises universitaires : « Ce n’est pas une faveur, mais un droit sacré, conquis après plusieurs années de lutte. Les violer, c’est piétiner la dignité des étudiants du Sénégal. »
Face à l’escalade de la crise, le mouvement avance une série de mesures immédiates pour restaurer la confiance et apaiser les tensions : paiement automatique et intégral des bourses ; création d’une Banque Nationale de l’Enseignement financée par les revenus du pétrole ; mise en place de centres incubateurs pour garantir aux étudiants des revenus temporaires et renforcer leur autonomie économique ; respect strict des franchises universitaires ; réaffectation des fonds politiques au profit des urgences du système éducatif.
Gueum Sa Bopp affirme rester « aux côtés de la jeunesse, de la dignité et de la justice », opposant sa posture à celle d’un gouvernement décrit comme préoccupé par ses seuls privilèges. « Le gouvernement peut protéger ses privilèges et nous, nous protégerons l’avenir du Sénégal », conclut le mouvement dans son communiqué.
Selon Gueum Sa Bopp, la situation actuelle « expose l’avenir de la Nation aux gaz lacrymogènes, aux matraques et à l’humiliation », traduisant l’échec de l’État à assumer l’une de ses responsabilités les plus essentielles : garantir aux étudiants des conditions minimales d’études et de vie décente.
Le communiqué affirme que pendant que les campus s’enlisent dans la crise, « les privilèges, eux, ne connaissent aucun retard ». Le mouvement s’indigne du contraste entre la rigueur exigée des étudiants et le traitement réservé aux dirigeants : « Dans un pays où l’on paie sans délai primes, salaires des autorités et où l’on se déplace en jets privés, les étudiants ne doivent pas déverser leur colère pour percevoir une modique bourse. »
Gueum Sa Bopp qualifie la situation de « trahison », accusant les responsables politiques de « s’enrichir » pendant que les étudiants « luttent pour exister ». Le mouvement insiste également sur la nécessité absolue de respecter les franchises universitaires : « Ce n’est pas une faveur, mais un droit sacré, conquis après plusieurs années de lutte. Les violer, c’est piétiner la dignité des étudiants du Sénégal. »
Face à l’escalade de la crise, le mouvement avance une série de mesures immédiates pour restaurer la confiance et apaiser les tensions : paiement automatique et intégral des bourses ; création d’une Banque Nationale de l’Enseignement financée par les revenus du pétrole ; mise en place de centres incubateurs pour garantir aux étudiants des revenus temporaires et renforcer leur autonomie économique ; respect strict des franchises universitaires ; réaffectation des fonds politiques au profit des urgences du système éducatif.
Gueum Sa Bopp affirme rester « aux côtés de la jeunesse, de la dignité et de la justice », opposant sa posture à celle d’un gouvernement décrit comme préoccupé par ses seuls privilèges. « Le gouvernement peut protéger ses privilèges et nous, nous protégerons l’avenir du Sénégal », conclut le mouvement dans son communiqué.