En moins d'un an à la tête de la Guinée Bissau, le régime du président Umaro sissoco Embaló est cité dans plusieurs scandales: Menaces de morts, saccage de radios, enlèvement des activistes et des agressions. La Ligue guinéenne des droits de l'homme (LGDH) accuse directement la présidence de la république d'avoir mis en place "un escadron de répression" pour limité la liberté d'expression des citoyens Guinéens.
en conférence de presse au siège de l'organisation à Bissau, le président de l'organisation Augusto Mario da Silva, demande à sissoco Embaló d'adopter une conduite républicaine.
′′Une telle attitude n'honore pas votre personne et menace la cohésion sociale. Vous devrez avoir une posture de rassembleur pour assurer l'unité", a t-il dit.
Mario da Silva a rappelé à Embaló que la LGDH a été la première organisation à dénoncer les enlèvements d'Armando Correia Dias ′′ Ndinho ′′ et de M. Marciano Indi juste après avoir été contacté par leur famille.
La LGDH a signalé que des cas d'enlèvements et d'agressions de personnalités politiques , de journalistes, sans oublier la vandalisation de la radio Capital FM sont restés impunis alors que les supposés commanditaires ont été dénoncés.
en conférence de presse au siège de l'organisation à Bissau, le président de l'organisation Augusto Mario da Silva, demande à sissoco Embaló d'adopter une conduite républicaine.
′′Une telle attitude n'honore pas votre personne et menace la cohésion sociale. Vous devrez avoir une posture de rassembleur pour assurer l'unité", a t-il dit.
Mario da Silva a rappelé à Embaló que la LGDH a été la première organisation à dénoncer les enlèvements d'Armando Correia Dias ′′ Ndinho ′′ et de M. Marciano Indi juste après avoir été contacté par leur famille.
La LGDH a signalé que des cas d'enlèvements et d'agressions de personnalités politiques , de journalistes, sans oublier la vandalisation de la radio Capital FM sont restés impunis alors que les supposés commanditaires ont été dénoncés.