Convoqué par la police, Bougar Diouf, président de l’UPS et membre de la coalition présidentielle, a changé de discours et de ton dans son dernier communiqué publié cet après-midi. Il ne confirme pas ses graves accusations contre le Premier ministre Ousmane Sonko, Guy Marius Sagna et leurs supposées connexions avec le MFDC, mais se concentre sur la critique politique.
« Le Sénégal est un et indivisible. Jamais nous ne reconnaîtrons une quelconque partie du territoire national comme appartenant à des tiers. Qu’il s’agisse du MFDC ou de toute autre revendication séparatiste, cela importe peu : notre devoir est de défendre l’unité nationale et la souveraineté de notre pays. Je mène ce combat contre l’injustice sous toutes ses formes et je suis prêt à tous les sacrifices pour que ce pays continue d’exister. Lorsqu’un Premier ministre s’empresse de gouverner à la place du Président, en contradiction avec l’ordre établi, il est du devoir de tout citoyen de défendre la République. À plus forte raison, un chef de parti politique doit en être pleinement conscient », a-t-il déclaré.
Sur ses accusations concernant le MFDC et Ousmane Sonko, le jeune politicien nuance : « Il n’y aura ni recul, ni compromission devant la vérité : l’unité nationale et la stabilité du Sénégal sont non négociables ».
Malgré les critiques qu’il a suscitées, Bougar Diouf lance un appel au soutien : « J’invite donc tous les défenseurs de la République, la société civile, toute la presse nationale et internationale, le mouvement Y’en a marre et tous les vrais patriotes à venir me soutenir dans ce combat auquel je ne reculerai pas d’un iota. Je maintiens tous mes propos. Nemo censetur ignorare legem ! »
« Le Sénégal est un et indivisible. Jamais nous ne reconnaîtrons une quelconque partie du territoire national comme appartenant à des tiers. Qu’il s’agisse du MFDC ou de toute autre revendication séparatiste, cela importe peu : notre devoir est de défendre l’unité nationale et la souveraineté de notre pays. Je mène ce combat contre l’injustice sous toutes ses formes et je suis prêt à tous les sacrifices pour que ce pays continue d’exister. Lorsqu’un Premier ministre s’empresse de gouverner à la place du Président, en contradiction avec l’ordre établi, il est du devoir de tout citoyen de défendre la République. À plus forte raison, un chef de parti politique doit en être pleinement conscient », a-t-il déclaré.
Sur ses accusations concernant le MFDC et Ousmane Sonko, le jeune politicien nuance : « Il n’y aura ni recul, ni compromission devant la vérité : l’unité nationale et la stabilité du Sénégal sont non négociables ».
Malgré les critiques qu’il a suscitées, Bougar Diouf lance un appel au soutien : « J’invite donc tous les défenseurs de la République, la société civile, toute la presse nationale et internationale, le mouvement Y’en a marre et tous les vrais patriotes à venir me soutenir dans ce combat auquel je ne reculerai pas d’un iota. Je maintiens tous mes propos. Nemo censetur ignorare legem ! »