La présence de Donald Trump au sommet du G20 prévu en Afrique du Sud reste incertaine. Interrogé mardi, l’ancien président des États-Unis a déclaré qu’il pourrait se faire représenter, invoquant des "problèmes avec l'Afrique du Sud".
Cette hésitation intervient dans un climat diplomatique tendu entre les deux pays. En début d’année, le secrétaire d’État américain Marco Rubio avait déjà boycotté une réunion des ministres des Affaires étrangères du G20, organisée sous la présidence sud-africaine (décembre 2024 - novembre 2025). Trump a peur de provoquer dans le pays de Nelson Mandela une série de manifestation anti-Améericain.
La source du désaccord remonte à février, lorsque l’administration Trump a suspendu l’aide américaine à Pretoria en réaction à une réforme agraire controversée. Le texte sud-africain autorise, sous certaines conditions, la saisie de terres sans compensation. Washington, appuyé par Elon Musk, issu de la minorité Afrikaner, y voit une attaque ciblée contre les fermiers blancs.
Face aux tensions, l’Afrique du Sud tente actuellement de négocier un accord commercial afin d’éviter la mise en œuvre, dès le 1er août, de droits de douane américains de 30 % sur ses exportations.
Cette hésitation intervient dans un climat diplomatique tendu entre les deux pays. En début d’année, le secrétaire d’État américain Marco Rubio avait déjà boycotté une réunion des ministres des Affaires étrangères du G20, organisée sous la présidence sud-africaine (décembre 2024 - novembre 2025). Trump a peur de provoquer dans le pays de Nelson Mandela une série de manifestation anti-Améericain.
La source du désaccord remonte à février, lorsque l’administration Trump a suspendu l’aide américaine à Pretoria en réaction à une réforme agraire controversée. Le texte sud-africain autorise, sous certaines conditions, la saisie de terres sans compensation. Washington, appuyé par Elon Musk, issu de la minorité Afrikaner, y voit une attaque ciblée contre les fermiers blancs.
Face aux tensions, l’Afrique du Sud tente actuellement de négocier un accord commercial afin d’éviter la mise en œuvre, dès le 1er août, de droits de douane américains de 30 % sur ses exportations.