Le Secrétariat Exécutif National (SEN) de l’Alliance Pour la République (APR) a haussé le ton ce jeudi 20 mars, dénonçant avec virulence la déclaration du ministre et porte-parole du gouvernement, Amadou Moustapha Ndieck Sarré. Ce dernier avait affirmé que « Mouhamadou Moustapha Ba a avoué un maquillage des chiffres avant d’être tué », une sortie jugée irresponsable et indigne par l’opposition.
Au-delà de cette polémique, l’APR profite de l’occasion pour remettre sur la table le débat sur la loi d’amnistie et sa relecture par le gouvernement actuel. Pour le SEN, toute tentative de modification de ce texte voté sous Macky Sall serait une « machination grossière », accusant le Pastef de vouloir « diviser les Sénégalais entre militants et opposants ».
L’APR ne compte pas rester spectatrice de ce qu’elle qualifie de dérives du régime en place. « Le peuple doit se lever pour s’opposer à cette volonté d’absoudre les auteurs de violences politiques », insiste le SEN, appelant à une mobilisation nationale le 2 avril devant l’Assemblée nationale. Cette manifestation s’inscrit dans une stratégie plus large visant à remettre en cause les décisions du gouvernement sur les questions de justice et de gouvernance.
Le parti de l’ancien président Macky Sall en profite également pour dénoncer des arrestations arbitraires au sein de ses rangs, réclamant la libération immédiate de Farba Ngom, Lat Diop et Abdoulaye Ndiaye. « Ces détentions sont une tentative d’affaiblir l’APR et d’empêcher sa réorganisation », accuse le SEN.
Dans ce contexte de tensions, l’APR multiplie les initiatives pour maintenir son influence sur la scène politique. Outre les manifestations prévues, des visites auprès des familles religieuses sont annoncées pour « sensibiliser sur la gravité de la situation ».
À l’approche du 2 avril, cette nouvelle phase de confrontation entre l’opposition et le gouvernement risque d’exacerber les tensions dans un Sénégal où les débats politiques restent marqués par la polarisation et les clivages profonds.
Au-delà de cette polémique, l’APR profite de l’occasion pour remettre sur la table le débat sur la loi d’amnistie et sa relecture par le gouvernement actuel. Pour le SEN, toute tentative de modification de ce texte voté sous Macky Sall serait une « machination grossière », accusant le Pastef de vouloir « diviser les Sénégalais entre militants et opposants ».
L’APR ne compte pas rester spectatrice de ce qu’elle qualifie de dérives du régime en place. « Le peuple doit se lever pour s’opposer à cette volonté d’absoudre les auteurs de violences politiques », insiste le SEN, appelant à une mobilisation nationale le 2 avril devant l’Assemblée nationale. Cette manifestation s’inscrit dans une stratégie plus large visant à remettre en cause les décisions du gouvernement sur les questions de justice et de gouvernance.
Le parti de l’ancien président Macky Sall en profite également pour dénoncer des arrestations arbitraires au sein de ses rangs, réclamant la libération immédiate de Farba Ngom, Lat Diop et Abdoulaye Ndiaye. « Ces détentions sont une tentative d’affaiblir l’APR et d’empêcher sa réorganisation », accuse le SEN.
Dans ce contexte de tensions, l’APR multiplie les initiatives pour maintenir son influence sur la scène politique. Outre les manifestations prévues, des visites auprès des familles religieuses sont annoncées pour « sensibiliser sur la gravité de la situation ».
À l’approche du 2 avril, cette nouvelle phase de confrontation entre l’opposition et le gouvernement risque d’exacerber les tensions dans un Sénégal où les débats politiques restent marqués par la polarisation et les clivages profonds.