Alioune Sall, responsable du parti PASTEF–Les Patriotes en France par ailleurs ministre de la communication, des télécommunications et du numérique, a vivement dénoncé ce qu’il qualifie d’« attaques ignominieuses, injustifiées et malhonnêtes » contre Ousmane Sonko, Président du parti et actuel Premier ministre du Sénégal. Selon lui, ces attaques sont orchestrées par des « politiciens encagoulés », qu’il accuse de vouloir semer le trouble dans le pays par l’intermédiaire de chroniqueurs instrumentalisés.
« Une fois encore, notre Président de parti, Ousmane Sonko, fait l’objet d’attaques (…) de la part d’individus sans visage, camouflés en chroniqueurs », déclare Alioune Sall, dénonçant des manœuvres visant à ternir l’image d’un homme et d’un mouvement qui incarnent l’espoir d’un Sénégal juste et souverain.
Le membre de PASTEF lie ces attaques à une stratégie de provocation permanente, qu’il attribue à ceux qu’il accuse d’avoir tenté un « coup d’État institutionnel » en février 2024, une référence aux anciens dirigeants du pays. Il cite notamment Macky Sall, Amadou Bâ et Sidiki Kaba, ainsi que des députés de la précédente législature, qu’il accuse d’avoir « servi des desseins inavouables » entre 2017 et 2024.
Selon Alioune Sall, ces figures de l’ancien régime, « balayées par une volonté populaire irrépressible », chercheraient aujourd’hui à détourner l’attention des Sénégalais des priorités nationales telles que la reddition des comptes, la justice, et la transparence. Il évoque également des actes de « pillages et de falsifications » dont ces responsables politiques seraient coupables.
Face à ce qu’il considère comme des tentatives de déstabilisation, Alioune Sall appelle les militants de PASTEF à rester mobilisés. Il réaffirme que l’engagement du parti pour la transformation du pays demeure intact, précisant que le slogan « Gatsa Gatsa » – souvent associé à la fermeté revendiquée par le parti – n’a pas été rangé dans les tiroirs, malgré l’exercice du pouvoir.
« Notre projet de société, Inchallah, se réalisera avec le peuple sénégalais, comme nous l’avons promis », déclare-t-il, avant d’ajouter que la réponse aux manigances politiques se fera de manière « ferme, légale et républicaine ».
Alioune Sall conclut en assurant que le Sénégal poursuivra sa marche, malgré les « calculs mesquins » de ceux qui, selon lui, refusent de voir émerger une nouvelle ère politique. Il réaffirme enfin sa confiance en Ousmane Sonko, qu’il décrit comme un leader capable de « conduire cette bataille avec lucidité et courage ».
« Une fois encore, notre Président de parti, Ousmane Sonko, fait l’objet d’attaques (…) de la part d’individus sans visage, camouflés en chroniqueurs », déclare Alioune Sall, dénonçant des manœuvres visant à ternir l’image d’un homme et d’un mouvement qui incarnent l’espoir d’un Sénégal juste et souverain.
Le membre de PASTEF lie ces attaques à une stratégie de provocation permanente, qu’il attribue à ceux qu’il accuse d’avoir tenté un « coup d’État institutionnel » en février 2024, une référence aux anciens dirigeants du pays. Il cite notamment Macky Sall, Amadou Bâ et Sidiki Kaba, ainsi que des députés de la précédente législature, qu’il accuse d’avoir « servi des desseins inavouables » entre 2017 et 2024.
Selon Alioune Sall, ces figures de l’ancien régime, « balayées par une volonté populaire irrépressible », chercheraient aujourd’hui à détourner l’attention des Sénégalais des priorités nationales telles que la reddition des comptes, la justice, et la transparence. Il évoque également des actes de « pillages et de falsifications » dont ces responsables politiques seraient coupables.
Face à ce qu’il considère comme des tentatives de déstabilisation, Alioune Sall appelle les militants de PASTEF à rester mobilisés. Il réaffirme que l’engagement du parti pour la transformation du pays demeure intact, précisant que le slogan « Gatsa Gatsa » – souvent associé à la fermeté revendiquée par le parti – n’a pas été rangé dans les tiroirs, malgré l’exercice du pouvoir.
« Notre projet de société, Inchallah, se réalisera avec le peuple sénégalais, comme nous l’avons promis », déclare-t-il, avant d’ajouter que la réponse aux manigances politiques se fera de manière « ferme, légale et républicaine ».
Alioune Sall conclut en assurant que le Sénégal poursuivra sa marche, malgré les « calculs mesquins » de ceux qui, selon lui, refusent de voir émerger une nouvelle ère politique. Il réaffirme enfin sa confiance en Ousmane Sonko, qu’il décrit comme un leader capable de « conduire cette bataille avec lucidité et courage ».