Mamadou Malado Diallo, cultivateur, responsable des personnes vivant avec un handicap et cadre de l'Alliance pour la République (APR), sort de sa réserve. Dans une déclaration aux accents critiques, il fustige la gestion actuelle de la campagne agricole, tout en soulignant les inquiétudes croissantes du monde rural face aux retards et à l’improvisation.
Revenant sur l’échec de la précédente saison, il rappelle : « Après avoir évité le débat et les critiques de l’échec de la campagne agricole précédente, qui, avec 120 milliards mobilisés, sans compter l’implication de l’armée, de la gendarmerie et de tous les services techniques, n’a permis de récolter que 400 000 tonnes sur un objectif de 1 500 000 tonnes, on continue de fuir les responsabilités. »
Pour Mamadou Malado Diallo, la situation actuelle est encore plus préoccupante. Il alerte sur les retards dans la distribution des intrants agricoles : « Aujourd’hui encore, avec ce retard dans la mise en place des maigres semences attribuées aux opérateurs, la boussole du Jub Jubbal Jubanti se perd dans les champs. »
Avec l’hivernage déjà bien entamé, les inquiétudes des paysans se multiplient : « L’hivernage est là, et plus rien ne rassure les paysans. » Pour lui, l’initiative de la Délégation générale à l'entrepreneuriat rapide (DER), qui s’invite dans la préparation de la Tabaski avec la distribution de moutons, est perçue comme un écran de fumée : « La DER qui s’invite à la Tabaski avec des moutons ne nous rassure guère. Du jamais vu : la DER des moutons, au moment où les Bourses de sécurité familiale (BSF) sont oubliées dans les tiroirs du Joum Jommi Jaxle. »
À travers cette sortie, Mamadou Malado Diallo exprime un malaise profond partagé par de nombreux acteurs du monde rural, et interpelle les autorités sur la nécessité d’un recentrage des priorités autour de la souveraineté alimentaire et de la protection sociale.
Revenant sur l’échec de la précédente saison, il rappelle : « Après avoir évité le débat et les critiques de l’échec de la campagne agricole précédente, qui, avec 120 milliards mobilisés, sans compter l’implication de l’armée, de la gendarmerie et de tous les services techniques, n’a permis de récolter que 400 000 tonnes sur un objectif de 1 500 000 tonnes, on continue de fuir les responsabilités. »
Pour Mamadou Malado Diallo, la situation actuelle est encore plus préoccupante. Il alerte sur les retards dans la distribution des intrants agricoles : « Aujourd’hui encore, avec ce retard dans la mise en place des maigres semences attribuées aux opérateurs, la boussole du Jub Jubbal Jubanti se perd dans les champs. »
Avec l’hivernage déjà bien entamé, les inquiétudes des paysans se multiplient : « L’hivernage est là, et plus rien ne rassure les paysans. » Pour lui, l’initiative de la Délégation générale à l'entrepreneuriat rapide (DER), qui s’invite dans la préparation de la Tabaski avec la distribution de moutons, est perçue comme un écran de fumée : « La DER qui s’invite à la Tabaski avec des moutons ne nous rassure guère. Du jamais vu : la DER des moutons, au moment où les Bourses de sécurité familiale (BSF) sont oubliées dans les tiroirs du Joum Jommi Jaxle. »
À travers cette sortie, Mamadou Malado Diallo exprime un malaise profond partagé par de nombreux acteurs du monde rural, et interpelle les autorités sur la nécessité d’un recentrage des priorités autour de la souveraineté alimentaire et de la protection sociale.