Ce sommet a réuni des hauts responsables gouvernementaux, des experts en politique, des ONG, des chercheurs, des médias et des leaders de l’industrie des trois pays d’Afrique de l’Ouest : du Sénégal, du Mali, de la Guinée, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du Togo, du Bénin, du Niger et du Ghana. Ils se sont tous retrouvés à ce sommet pour collaborer sur un avenir plus sûr et sur l’amélioration de la sécurité numérique des espaces sociétaux ouest-africains.
À cet effet, Duduzile Mkhize, responsable de la sensibilisation aux plateformes de TikTok pour la région subsaharienne, a estimé que l’engagement de ce réseau social « montre la volonté de contribuer à un environnement en ligne plus sécurisé pour tous ».
Elle a rappelé que « l’Afrique connaît une croissance rapide du numérique, mais plusieurs défis persistent, notamment en matière de sécurité numérique et de littératie numérique. Renforcer la résilience numérique est donc important pour le développement de l’Afrique et la sécurité de tous dans l’utilisation du numérique ».
De son côté, l’un des partenaires clés du sommet, la Sénégalaise Aisha Dabo, conseillère consultatif senior Afrique de l’initiative SaC de TikTok. En tant qu’experte du numérique forte de 20 ans d’expérience, elle a insisté sur le fait que « le Sénégal a fait des avancées dans l’écosystème numérique et continue de progresser ». Elle a aussi tenu à noter que TikTok « continue de renforcer ses efforts pour que le continent puisse évoluer, créer et se développer de manière responsable ».
« Le but de cette rencontre est de sensibiliser sur la sécurité numérique », a ajouté Aisha Dabo.
Dans son dernier rapport d’application des directives communautaires, TikTok a mis en avant la force combinée de sa technologie de modération automatisée et de ses équipes humaines expertes, qui travaillent en étroite collaboration pour détecter rapidement les contenus nuisibles avant que les utilisateurs ne soient touchés.
Depuis janvier 2024, TikTok a retiré plus de 34 millions de vidéos à travers le Bénin, le Burkina Faso, le Cap-Vert, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Côte d’Ivoire, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Leone et le Togo. Cette proportion de retrait représente en moyenne 6,08% de l’ensemble du contenu publié dans la région.
Par ailleurs, du premier au deuxième trimestre 2025, TikTok a supprimé plus de 2,5 millions de vidéos rien qu’au Sénégal. Dans ce total, 189 millions de vidéos ont été supprimées dans le monde, ce qui représente 2,9% du contenu téléchargé.
Les vidéos retirées pour violation des directives communautaires concernent principalement les contenus liés à la sécurité des mineurs, la violence, les discours haineux, les activités illégales et les contenus violant la propriété intellectuelle.
Selon les données du rapport, TikTok « a identifié des tendances de contenus non conformes dans certains secteurs ». Les opérations sectorielles se sont donc renforcées en Afrique de l’Ouest et en France. TikTok prévoit également des formations supplémentaires pour les créateurs de contenu africains afin de les aider à s’adapter aux nouvelles règles et à se conformer à la politique de sécurité.
À cet effet, Duduzile Mkhize, responsable de la sensibilisation aux plateformes de TikTok pour la région subsaharienne, a estimé que l’engagement de ce réseau social « montre la volonté de contribuer à un environnement en ligne plus sécurisé pour tous ».
Elle a rappelé que « l’Afrique connaît une croissance rapide du numérique, mais plusieurs défis persistent, notamment en matière de sécurité numérique et de littératie numérique. Renforcer la résilience numérique est donc important pour le développement de l’Afrique et la sécurité de tous dans l’utilisation du numérique ».
De son côté, l’un des partenaires clés du sommet, la Sénégalaise Aisha Dabo, conseillère consultatif senior Afrique de l’initiative SaC de TikTok. En tant qu’experte du numérique forte de 20 ans d’expérience, elle a insisté sur le fait que « le Sénégal a fait des avancées dans l’écosystème numérique et continue de progresser ». Elle a aussi tenu à noter que TikTok « continue de renforcer ses efforts pour que le continent puisse évoluer, créer et se développer de manière responsable ».
« Le but de cette rencontre est de sensibiliser sur la sécurité numérique », a ajouté Aisha Dabo.
Dans son dernier rapport d’application des directives communautaires, TikTok a mis en avant la force combinée de sa technologie de modération automatisée et de ses équipes humaines expertes, qui travaillent en étroite collaboration pour détecter rapidement les contenus nuisibles avant que les utilisateurs ne soient touchés.
Depuis janvier 2024, TikTok a retiré plus de 34 millions de vidéos à travers le Bénin, le Burkina Faso, le Cap-Vert, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Côte d’Ivoire, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Leone et le Togo. Cette proportion de retrait représente en moyenne 6,08% de l’ensemble du contenu publié dans la région.
Par ailleurs, du premier au deuxième trimestre 2025, TikTok a supprimé plus de 2,5 millions de vidéos rien qu’au Sénégal. Dans ce total, 189 millions de vidéos ont été supprimées dans le monde, ce qui représente 2,9% du contenu téléchargé.
Les vidéos retirées pour violation des directives communautaires concernent principalement les contenus liés à la sécurité des mineurs, la violence, les discours haineux, les activités illégales et les contenus violant la propriété intellectuelle.
Selon les données du rapport, TikTok « a identifié des tendances de contenus non conformes dans certains secteurs ». Les opérations sectorielles se sont donc renforcées en Afrique de l’Ouest et en France. TikTok prévoit également des formations supplémentaires pour les créateurs de contenu africains afin de les aider à s’adapter aux nouvelles règles et à se conformer à la politique de sécurité.