Le bras de fer entre la société Softcare et l’Agence de régulation pharmaceutique (ARP) prend désormais une tournure judiciaire et institutionnelle. Face à ce qu’ils qualifient de faits graves, Massokhna Kane et l’organisation SoS consommateurs annoncent le dépôt imminent de nouvelles plaintes auprès du procureur de la République et de l’Office national de lutte contre la corruption (OFNAC).
Objectif affiché : obtenir des autorités compétentes qu’elles fassent toute la lumière sur ce dossier sensible, à la suite de déclarations jugées particulièrement alarmantes attribuées à un inspecteur pharmacien assermenté. Intervenant ce lundi sur les ondes de Sud FM, Me Massokhna Kane a confirmé que la procédure était en cours de formalisation.
« Nous sommes en train de formaliser les plaintes parce qu’avec les déclarations très graves qui ont été faites par l'inspecteur pharmacien assermenté, nous avons décidé, outre la plainte déposée auprès du procureur de Mbour et de Thiès, d’en saisir également l’OFNAC afin qu’il y ait une enquête plus approfondie », a-t-il déclaré.
Par cette double saisine, les plaignants entendent élargir le champ des investigations et accroître la pression institutionnelle autour de l’affaire Softcare–ARP, estimant que les éléments révélés justifient une enquête indépendante et approfondie sur d’éventuelles responsabilités administratives ou pénales.
Objectif affiché : obtenir des autorités compétentes qu’elles fassent toute la lumière sur ce dossier sensible, à la suite de déclarations jugées particulièrement alarmantes attribuées à un inspecteur pharmacien assermenté. Intervenant ce lundi sur les ondes de Sud FM, Me Massokhna Kane a confirmé que la procédure était en cours de formalisation.
« Nous sommes en train de formaliser les plaintes parce qu’avec les déclarations très graves qui ont été faites par l'inspecteur pharmacien assermenté, nous avons décidé, outre la plainte déposée auprès du procureur de Mbour et de Thiès, d’en saisir également l’OFNAC afin qu’il y ait une enquête plus approfondie », a-t-il déclaré.
Par cette double saisine, les plaignants entendent élargir le champ des investigations et accroître la pression institutionnelle autour de l’affaire Softcare–ARP, estimant que les éléments révélés justifient une enquête indépendante et approfondie sur d’éventuelles responsabilités administratives ou pénales.