L’enquête sur l’affaire dite Kocc Barma continue de s’élargir. Les enquêteurs de la Division spéciale de cybersécurité (DSC) ont interpellé un deuxième individu présenté comme un relais actif du réseau, soupçonné d’avoir alimenté la plateforme clandestine en vidéos à caractère intime.
Selon Libération, le mis en cause aurait transmis ces contenus sensibles à El Hadji Babacar Dioum, présenté comme le cerveau du dispositif, en utilisant l’adresse électronique associée au site illicite. Déféré devant le doyen des juges d’instruction, il a été inculpé puis placé sous contrôle judiciaire.
Cette arrestation s’inscrit dans une offensive judiciaire plus large visant à remonter toute la chaîne de responsabilités dans ce dossier de cyberchantage et de diffusion de données privées. Un premier suspect avait déjà été arrêté pour avoir transmis une vidéo intime impliquant son ex-compagne, rappellent les enquêteurs.
Après avoir ciblé les principaux animateurs du réseau, décrit comme l’un des dossiers de cybercriminalité les plus sensibles de ces dernières années au Sénégal, la DSC change désormais de focale. L’objectif est clair : identifier méthodiquement chaque contributeur ayant fourni des contenus illicites, afin d’assécher définitivement la source d’alimentation du système.
À mesure que l’instruction progresse, les autorités entendent démontrer leur détermination à démanteler intégralement le réseau, tout en envoyant un signal fort contre les pratiques de chantage numérique et d’atteinte à la vie privée.
Selon Libération, le mis en cause aurait transmis ces contenus sensibles à El Hadji Babacar Dioum, présenté comme le cerveau du dispositif, en utilisant l’adresse électronique associée au site illicite. Déféré devant le doyen des juges d’instruction, il a été inculpé puis placé sous contrôle judiciaire.
Cette arrestation s’inscrit dans une offensive judiciaire plus large visant à remonter toute la chaîne de responsabilités dans ce dossier de cyberchantage et de diffusion de données privées. Un premier suspect avait déjà été arrêté pour avoir transmis une vidéo intime impliquant son ex-compagne, rappellent les enquêteurs.
Après avoir ciblé les principaux animateurs du réseau, décrit comme l’un des dossiers de cybercriminalité les plus sensibles de ces dernières années au Sénégal, la DSC change désormais de focale. L’objectif est clair : identifier méthodiquement chaque contributeur ayant fourni des contenus illicites, afin d’assécher définitivement la source d’alimentation du système.
À mesure que l’instruction progresse, les autorités entendent démontrer leur détermination à démanteler intégralement le réseau, tout en envoyant un signal fort contre les pratiques de chantage numérique et d’atteinte à la vie privée.