Taxé de ministre en charge de la répression des opposants, Antoine Diome est aussi accusé d'avoir fermé ses yeux sur la monté de l'insécurité dans la région de Dakar, a finalement a réagi.
A ce sujet, A. Diome a précisé que la réplique a déjà débuté sur le terrain : « Vous avez noté que ce week-end, il y a eu des opérations de sécurisation de grande ampleur qui ont été menées, elles vont se poursuivre», a t-il théorisé. Il ajoute : « Aucun répit ne sera laissé aux malfaiteurs. Il faut qu’ils comprennent que les braves populations, qui vivent à la sueur de leur front, auront l’assistance, le soutien et toute la protection de l’Etat. Je veux être très clair sur ce sujet ».
Son discours est loin de convaincre car les agressions continuent dans la capitale. Cependant le ministre a profité de l’occasion pour annoncer l’ouverture d’un nouveau numéro vert (123) afin d’alerter les forces de l’ordre et de sécurité en cas de nécessité.
D'ailleurs la démission du ministre l'intérieur est réclamée par la societé civile.
A ce sujet, A. Diome a précisé que la réplique a déjà débuté sur le terrain : « Vous avez noté que ce week-end, il y a eu des opérations de sécurisation de grande ampleur qui ont été menées, elles vont se poursuivre», a t-il théorisé. Il ajoute : « Aucun répit ne sera laissé aux malfaiteurs. Il faut qu’ils comprennent que les braves populations, qui vivent à la sueur de leur front, auront l’assistance, le soutien et toute la protection de l’Etat. Je veux être très clair sur ce sujet ».
Son discours est loin de convaincre car les agressions continuent dans la capitale. Cependant le ministre a profité de l’occasion pour annoncer l’ouverture d’un nouveau numéro vert (123) afin d’alerter les forces de l’ordre et de sécurité en cas de nécessité.
D'ailleurs la démission du ministre l'intérieur est réclamée par la societé civile.