La ville de Mboro-Sur-Mer a été endeuillée ce mardi par un terrible accident de la circulation survenu aux abords du CIFOP. Selon les premiers témoignages recueillis sur place, au moins quatre personnes ont perdu la vie. La gendarmerie, dépêchée sur les lieux, a procédé aux constatations d’usage. Une ambulance est intervenue dans l’attente de l’arrivée des sapeurs-pompiers, appelés depuis Tivaouane, située à plusieurs dizaines de kilomètres.
Ce drame ravive une colère sourde et persistante au sein des habitants : une fois de plus, la lenteur des secours illustre les carences structurelles en matière de services d’urgence dans cette localité pourtant stratégique. Ni caserne de sapeurs-pompiers, ni hôpital de référence, Mboro reste cruellement démunie face à l’urgence.
Une tragédie de trop
« Ce n’est pas la première fois que Mboro paie le prix fort de l’absence de services de secours à proximité », dénonce la Cellule de communication du Mouvement Ubuntu, dans un communiqué publié peu après le drame. À chaque accident grave, le même constat revient, implacable : le manque d’infrastructures adaptées coûte des vies. Le délai d’intervention des secours, tributaire de la distance avec les centres de secours les plus proches, pose un problème majeur d’équité territoriale et de droit à la santé.
Une colère relayée par le Mouvement "Ubuntu"
Dans son communiqué, la Cellule de communication du Mouvement Ubuntu interpelle directement les autorités locales et nationales : « Combien de vies auraient pu être sauvées si les secours étaient arrivés quelques minutes plus tôt ? Combien de familles doivent encore pleurer leurs proches avant que les autorités n’assument leurs responsabilités ? »
Le mouvement appelle à des mesures immédiates : la construction d’une caserne de sapeurs-pompiers et d’un hôpital moderne pour Mboro. « Ce n’est pas un luxe, c’est une nécessité vitale », martèle la Cellule de communication. Face à cette nouvelle tragédie, la question demeure : combien de morts faudra-t-il encore pour qu’une réponse structurelle et durable soit apportée ?
Ce drame ravive une colère sourde et persistante au sein des habitants : une fois de plus, la lenteur des secours illustre les carences structurelles en matière de services d’urgence dans cette localité pourtant stratégique. Ni caserne de sapeurs-pompiers, ni hôpital de référence, Mboro reste cruellement démunie face à l’urgence.
Une tragédie de trop
« Ce n’est pas la première fois que Mboro paie le prix fort de l’absence de services de secours à proximité », dénonce la Cellule de communication du Mouvement Ubuntu, dans un communiqué publié peu après le drame. À chaque accident grave, le même constat revient, implacable : le manque d’infrastructures adaptées coûte des vies. Le délai d’intervention des secours, tributaire de la distance avec les centres de secours les plus proches, pose un problème majeur d’équité territoriale et de droit à la santé.
Une colère relayée par le Mouvement "Ubuntu"
Dans son communiqué, la Cellule de communication du Mouvement Ubuntu interpelle directement les autorités locales et nationales : « Combien de vies auraient pu être sauvées si les secours étaient arrivés quelques minutes plus tôt ? Combien de familles doivent encore pleurer leurs proches avant que les autorités n’assument leurs responsabilités ? »
Le mouvement appelle à des mesures immédiates : la construction d’une caserne de sapeurs-pompiers et d’un hôpital moderne pour Mboro. « Ce n’est pas un luxe, c’est une nécessité vitale », martèle la Cellule de communication. Face à cette nouvelle tragédie, la question demeure : combien de morts faudra-t-il encore pour qu’une réponse structurelle et durable soit apportée ?