
Le Tribunal des flagrants délits de Thiès a jugé, hier vendredi, un cas de détournement de mineure qui a abouti au démantèlement d’un réseau de pédophiles.
Marché pris, l’agent immobilier C. Seck s’est laissé berner par son instinct sexuel en détournant une mineure. Il a fini par découvrir un réseau de pédophiles qui se cache dans la chambre d’un bâtiment à Mboro.
Tout est parti du signalement de la famille de la victime. L’enfant s’est éclipsée de la maison sans en avertir les parents qui s’alarment. L’occasion faisant le larron, il transmet les raisons de sa visite à W. Sedia qui a déjà eu affaire à un des amis de la famille. L’affaire débouchera sur un octuple cas de viol sur la mineure.
L’intimité charnelle de D. Diop, lorsqu’elle surgit dans la chambre d’une grande cour, figea d’effroi Abib C. Seck, le vigile qui, court et flegmatique, l’a sauvé de ce béguin. Là, il fera croire à la famille soucieuse qu’il a flairé la situation. Un énième retrait de l’adolescente réveille le soupçon de violation. Arrêté pour la dernière et pour avoir violé l’enfant, il a formé une bulle propice aux pédophiles.
Lors de l’enquête préliminaire, Abdoulaye Seck se rétracte mais les investigations confirment les soupçons. L’homme est traduit devant la justice qui lui a asséné 3 ans de prison dont 1 an ferme.
Arrivé pour faire face au juge des flagrants délits de Thiès, Daouda L. Barry, qualifié de prédateur, a cumulé la reconnaissance avouée d’entretien de rapports sexuels avec la fillette.
Interrogée, la jeune fille a avoué les faits avant d’ajouter que ce dernier lui avait offert 15 000 FCFA.
A. Camara, accusé pour les mêmes motifs, a lui aussi cherché à maintenir son innocence. «Elle m’a abordé en me disant qu’elle aimait le sexe. Un jour, elle m’a donné rendez-vous sur un lit bien douillet. Nous nous sommes livrés à des ébats intimes», a-t-il confessé.
Le Tribunal de Thiès a condamné Abdoulaye Seck à 1 an de prison ferme, Daouda L. Barry et A. Camara à 2 ans dont 1 an ferme pour pédophilie et entretien de rapports sexuels avec elle. Enfin, A. Top a échappé avec bien des difficultés.
l'OBS
Marché pris, l’agent immobilier C. Seck s’est laissé berner par son instinct sexuel en détournant une mineure. Il a fini par découvrir un réseau de pédophiles qui se cache dans la chambre d’un bâtiment à Mboro.
Tout est parti du signalement de la famille de la victime. L’enfant s’est éclipsée de la maison sans en avertir les parents qui s’alarment. L’occasion faisant le larron, il transmet les raisons de sa visite à W. Sedia qui a déjà eu affaire à un des amis de la famille. L’affaire débouchera sur un octuple cas de viol sur la mineure.
L’intimité charnelle de D. Diop, lorsqu’elle surgit dans la chambre d’une grande cour, figea d’effroi Abib C. Seck, le vigile qui, court et flegmatique, l’a sauvé de ce béguin. Là, il fera croire à la famille soucieuse qu’il a flairé la situation. Un énième retrait de l’adolescente réveille le soupçon de violation. Arrêté pour la dernière et pour avoir violé l’enfant, il a formé une bulle propice aux pédophiles.
Lors de l’enquête préliminaire, Abdoulaye Seck se rétracte mais les investigations confirment les soupçons. L’homme est traduit devant la justice qui lui a asséné 3 ans de prison dont 1 an ferme.
Arrivé pour faire face au juge des flagrants délits de Thiès, Daouda L. Barry, qualifié de prédateur, a cumulé la reconnaissance avouée d’entretien de rapports sexuels avec la fillette.
Interrogée, la jeune fille a avoué les faits avant d’ajouter que ce dernier lui avait offert 15 000 FCFA.
A. Camara, accusé pour les mêmes motifs, a lui aussi cherché à maintenir son innocence. «Elle m’a abordé en me disant qu’elle aimait le sexe. Un jour, elle m’a donné rendez-vous sur un lit bien douillet. Nous nous sommes livrés à des ébats intimes», a-t-il confessé.
Le Tribunal de Thiès a condamné Abdoulaye Seck à 1 an de prison ferme, Daouda L. Barry et A. Camara à 2 ans dont 1 an ferme pour pédophilie et entretien de rapports sexuels avec elle. Enfin, A. Top a échappé avec bien des difficultés.
l'OBS