Cheikh Diallo est un nouvel homme. Après six mois passés en prison, sa thèse de Doctorat en Sciences politiques en poche, l’ancien journaliste est à la tête d’un cabinet conseil.
Après 4 années, loin de la scène médiatique, il parle de nouveau. Grand théoricien de la Génération du concret, ami et collaborateur de Karim Wade, il revient dans un entretien accordé à L’Observateur sur ses relations avec l’ancien ministre, avec qui il s’est fâché suite au déclenchement de la traque des biens mal acquis.
« Depuis le procès, je n’ai plus de contact ni physique ni relation téléphonique avec Karim Wade. Aucun rapport, direct ou indirect ! », dit-il. Et de couper court : « Après le feuilleton judiciaire, chacun est parti de son côté. Pour ma part, j’ai fait savoir dans une lettre publique, après ma libération et mon non lieu, que je tournais la page. Avant de tourner une page, il faut prendre le temps de la lire. C’est ce que j’ai fait. Alors, n’insistez pas davantage. Vous ne m’entendrez plus sur ça ».
Après 4 années, loin de la scène médiatique, il parle de nouveau. Grand théoricien de la Génération du concret, ami et collaborateur de Karim Wade, il revient dans un entretien accordé à L’Observateur sur ses relations avec l’ancien ministre, avec qui il s’est fâché suite au déclenchement de la traque des biens mal acquis.
« Depuis le procès, je n’ai plus de contact ni physique ni relation téléphonique avec Karim Wade. Aucun rapport, direct ou indirect ! », dit-il. Et de couper court : « Après le feuilleton judiciaire, chacun est parti de son côté. Pour ma part, j’ai fait savoir dans une lettre publique, après ma libération et mon non lieu, que je tournais la page. Avant de tourner une page, il faut prendre le temps de la lire. C’est ce que j’ai fait. Alors, n’insistez pas davantage. Vous ne m’entendrez plus sur ça ».