Le collectif des 91 travailleurs licenciés de SAIPEM dénonce la décision rendu par Tribunal du travail. A cette occasion, le coordinateur de dudit collectif a fait savoir qu'ils comptent ouvrir les brèches et interpelle la société civile, l'opinion internationale et les autorités à saisir le dossier avant que les choses se dégénèrent.
Le collectif des 91 travailleurs licenciés de SAIPEM ont condamné sans retenue le licenciement abusif de travailleurs par la filiale "Global Petro Project Service", avant de s'en prendre à la décision brandie par le Tribunal en faveur de l'entreprise qui les opposa avec le collectif stimulant que le dossier des travailleurs est irrecevable en écartant la filiale Global Petro Project devant le procès."Le tribunal a déclaré que le dossier n'a pas de conciliation devant les autorités maritimes ( ANAM). Le Tribunal, soi-disant que l'entreprise Global Petro Project Service ne pourrait pas comparait parce qu'elle n'a pas de représentant, savait bel et bien si il la condamne, l'entreprise SAIPEM sera déboutée", déclare le coordinateur Abdoulaye Diedhiou.
Par contre la Cour d'Appel avait affirmé qu'une transaction estimée à 3.000. 000 de nos francs CFA avait été reçue en 2018. Ce qui a fait sortir le collectif de leurs gonds et ont profité de cette occasion pour faire un procès à cette filiale qu'elle n'hésiterais pas à traduire devant la justice pour refus de différer à la convocation du Tribunal. Ces derniers déplorent le manque de considération que le Tribunal a émis à leur égard.Car, précise-t-il, que le fait de dire que l'entreprise avait alloué 3 millions pour des employés ayant officie plus de vingt bonnes années comme indemnité ne tient pas la route et émane du manque de respect considérable.
Toutefois, le collectif demande la société civile, les autorités, les droits de l'hommistes entre autres de venir à leurs secours,car, ils sont oppressés par des multinationales.Ils ne comptent pas rester indifférent face à cette situation qu'ils jugent discriminatoire. Ils ont prévu dans les jours à venir de passer à passer à la vitesse supérieure. Ils comptent organiser des sit-in dans les locaux de Eiffage-marine ainsi qu'à l'Ambassade de la France à Dakar, qui est le représentant des multinationales, jusqu'à gain de cause.
Le collectif des 91 travailleurs licenciés de SAIPEM ont condamné sans retenue le licenciement abusif de travailleurs par la filiale "Global Petro Project Service", avant de s'en prendre à la décision brandie par le Tribunal en faveur de l'entreprise qui les opposa avec le collectif stimulant que le dossier des travailleurs est irrecevable en écartant la filiale Global Petro Project devant le procès."Le tribunal a déclaré que le dossier n'a pas de conciliation devant les autorités maritimes ( ANAM). Le Tribunal, soi-disant que l'entreprise Global Petro Project Service ne pourrait pas comparait parce qu'elle n'a pas de représentant, savait bel et bien si il la condamne, l'entreprise SAIPEM sera déboutée", déclare le coordinateur Abdoulaye Diedhiou.
Par contre la Cour d'Appel avait affirmé qu'une transaction estimée à 3.000. 000 de nos francs CFA avait été reçue en 2018. Ce qui a fait sortir le collectif de leurs gonds et ont profité de cette occasion pour faire un procès à cette filiale qu'elle n'hésiterais pas à traduire devant la justice pour refus de différer à la convocation du Tribunal. Ces derniers déplorent le manque de considération que le Tribunal a émis à leur égard.Car, précise-t-il, que le fait de dire que l'entreprise avait alloué 3 millions pour des employés ayant officie plus de vingt bonnes années comme indemnité ne tient pas la route et émane du manque de respect considérable.
Toutefois, le collectif demande la société civile, les autorités, les droits de l'hommistes entre autres de venir à leurs secours,car, ils sont oppressés par des multinationales.Ils ne comptent pas rester indifférent face à cette situation qu'ils jugent discriminatoire. Ils ont prévu dans les jours à venir de passer à passer à la vitesse supérieure. Ils comptent organiser des sit-in dans les locaux de Eiffage-marine ainsi qu'à l'Ambassade de la France à Dakar, qui est le représentant des multinationales, jusqu'à gain de cause.