La cour d'appel de Paris a donné son verdict aujourd'hui dans l'affaire Karim Wade. L'Etat ainsi, perd en appel dans la la procédure de confiscation des biens de Wade fils. Exclusif.net appris que le candidat du PDS remporte la seconde mache dans l'affaire de la traque des biens mal acquis. C'est un énième revers pour l'Etat du Sénégal qui vient d'étre encore débouté.
Il s'agissait d'une requête aux fins de saisie et de confiscation des biens de Wade-fils. Et la cour d'appel de Paris a confirmé le jugement prononcé en première instance en lien avec une procédure de confiscation des biens appartenant au fils de Abdoulaye Wade.
L'Etat a voulu déposséder de Wade-fils, déclaré coupable d'enrichissement illicite, d’éléments de son patrimoine, notamment deux appartements sis à Paris. En effet, l'agent judiciaire avait déposé un recours contre la décision prononcée en première instance.
Cette décision consacre une fois de plus en plus l’innocence de Karim Wade dans cette traque déclenchée par l'actuel régime en place. Selon Dr Seck Mamadou, Cadre Libéral-Paris et membre de la Fédération Pds de France, "le chapitre de la CREI a été ouvert à Dakar et clôturé à Paris et il va s’en dire que plus rien ne puisse se dresser contre la candidature de Karim Meissa Wade à la présidentielle de 2019. La CREI vient de subir sa belle mort à Paris, à la demande de l’état du Sénégal, en faisant de Karim Wade un «Blanc comme neige »."
Il s'agissait d'une requête aux fins de saisie et de confiscation des biens de Wade-fils. Et la cour d'appel de Paris a confirmé le jugement prononcé en première instance en lien avec une procédure de confiscation des biens appartenant au fils de Abdoulaye Wade.
L'Etat a voulu déposséder de Wade-fils, déclaré coupable d'enrichissement illicite, d’éléments de son patrimoine, notamment deux appartements sis à Paris. En effet, l'agent judiciaire avait déposé un recours contre la décision prononcée en première instance.
Cette décision consacre une fois de plus en plus l’innocence de Karim Wade dans cette traque déclenchée par l'actuel régime en place. Selon Dr Seck Mamadou, Cadre Libéral-Paris et membre de la Fédération Pds de France, "le chapitre de la CREI a été ouvert à Dakar et clôturé à Paris et il va s’en dire que plus rien ne puisse se dresser contre la candidature de Karim Meissa Wade à la présidentielle de 2019. La CREI vient de subir sa belle mort à Paris, à la demande de l’état du Sénégal, en faisant de Karim Wade un «Blanc comme neige »."